Information géographique et climatologie
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages238
- PrésentationBroché
- Poids0.61 kg
- Dimensions15,6 cm × 23,4 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-7462-1786-7
- EAN9782746217867
- Date de parution19/12/2007
- CollectionInformation géographique
- ÉditeurHermes Science Publications
Résumé
Quelle que soit sa démarche, la climatologie est très demandeuse d'information géographique, même si quantifier cette dernière entraîne une perte d'information, nécessaire dès lors qu'interviendront des calculs. Cette information géographique va être confrontée aux variables climatologiques obtenues à partir d'un réseau de stations au sol, ou de données satellitaires, dans un but de modélisation plus ou moins élaborée.
Ainsi, la production des modèles physiques climatologiques et météorologiques suppose la représentation la plus complète possible de la surface de la planète interagissant avec l'atmosphère. De même, l'approche statistique cherchant à interpoler, reconstituer un champ de variables (température, précipitations, etc.) moyen ou instantané s'appuiera sur des informations géographiques, différentes selon que la technique utilisée est fondée sur l'auto-corrélation spatiale ou sur des régressions environnementales.
Dans le domaine du risque, cette logique peut également être appliquée à des variables composites comme des indices de risque météorologique. L'information géographique n'est toutefois pas un outil inerte, neutre et indépendant de son époque.
Ainsi, la production des modèles physiques climatologiques et météorologiques suppose la représentation la plus complète possible de la surface de la planète interagissant avec l'atmosphère. De même, l'approche statistique cherchant à interpoler, reconstituer un champ de variables (température, précipitations, etc.) moyen ou instantané s'appuiera sur des informations géographiques, différentes selon que la technique utilisée est fondée sur l'auto-corrélation spatiale ou sur des régressions environnementales.
Dans le domaine du risque, cette logique peut également être appliquée à des variables composites comme des indices de risque météorologique. L'information géographique n'est toutefois pas un outil inerte, neutre et indépendant de son époque.
Quelle que soit sa démarche, la climatologie est très demandeuse d'information géographique, même si quantifier cette dernière entraîne une perte d'information, nécessaire dès lors qu'interviendront des calculs. Cette information géographique va être confrontée aux variables climatologiques obtenues à partir d'un réseau de stations au sol, ou de données satellitaires, dans un but de modélisation plus ou moins élaborée.
Ainsi, la production des modèles physiques climatologiques et météorologiques suppose la représentation la plus complète possible de la surface de la planète interagissant avec l'atmosphère. De même, l'approche statistique cherchant à interpoler, reconstituer un champ de variables (température, précipitations, etc.) moyen ou instantané s'appuiera sur des informations géographiques, différentes selon que la technique utilisée est fondée sur l'auto-corrélation spatiale ou sur des régressions environnementales.
Dans le domaine du risque, cette logique peut également être appliquée à des variables composites comme des indices de risque météorologique. L'information géographique n'est toutefois pas un outil inerte, neutre et indépendant de son époque.
Ainsi, la production des modèles physiques climatologiques et météorologiques suppose la représentation la plus complète possible de la surface de la planète interagissant avec l'atmosphère. De même, l'approche statistique cherchant à interpoler, reconstituer un champ de variables (température, précipitations, etc.) moyen ou instantané s'appuiera sur des informations géographiques, différentes selon que la technique utilisée est fondée sur l'auto-corrélation spatiale ou sur des régressions environnementales.
Dans le domaine du risque, cette logique peut également être appliquée à des variables composites comme des indices de risque météorologique. L'information géographique n'est toutefois pas un outil inerte, neutre et indépendant de son époque.