John Jack Thompson était le mentor d’Harry Bosch à ses débuts. Il était celui qui avait formé notre héros et était à l’origine de ce précepte cher à son cœur : « Tout le monde compte ou personne ». Il lui avait également enseigné que, dans chaque affaire, il fallait trouver l’élément qui permet à l’enquêteur de garder « le feu sacré », cette connexion avec la victime qui fait qu’un policier s’investit entièrement pour découvrir la vérité. Aussi, lorsque la veuve de Thompson lui remet un livre de meurtre que son mari a volé aux scellés, avant de partir en
retraite, Harry décide de reprendre les investigations et sollicite l’aide de Renée Ballard. Tous les deux s’interrogent sur la présence du dossier au domicile du défunt. En effet, depuis plus de vingt ans, aucune entrée ne figure au sujet de ce crime commis dans une impasse de Los Angeles. Il semblerait que Thompson ait voulu empêcher la résolution de l’affaire.
Renée, quant à elle, enquête sur un sans-abri retrouvé calciné, dans sa tente. Elle réfute la thèse de l’accident. Les deux associés apportent, aussi, leur aide au demi-frère d’Harry, l’avocat Mickey Haller. Ce dernier défend un homme accusé d’avoir tué un juge. Et si la science s’était trompée ? Enfin, Bosch affronte de terribles nouvelles personnelles et est déterminé à obtenir justice.
C’est le troisième livre autour du duo Bosch-Ballard et il est celui de la complicité. Tous deux ont appris à se connaître et veillent l’un sur l’autre. Harry est très protecteur avec Renée, veillant à ce qu’elle ne s’épuise pas et ne se mette pas en danger. Quant à la jeune femme, elle reste attentive à ce que son co-équipier non officiel n’ait pas d’ennuis. Aussi, lorsqu’il lui apporte son aide, elle est plus respectueuse des procédures qu’habituellement. L’alchimie professionnelle fonctionne à merveille.
Harry Bosch est très émouvant dans ce tome. Alors qu’il subit des épreuves terribles, il ne se plaint pas et agit pour le bien de ceux qu’il aime. Il fait preuve d’abnégation et cherche à préserver son entourage.
Les techniques d’investigation sont décrites avec précision. Michael Connelly montre leurs forces et leurs limites. Il explique aussi de quelle manière chaque dossier porte l’empreinte du policier qui le traite. Il ressort que, malgré les protocoles, chacun ajoute son histoire et sa personnalité. Ces éléments influent sur l’attention à certains indices, mais c’est, également, ce qui donne le « feu sacré », et pousse chacun à se surpasser. Dans les affaires qui occupent les deux partenaires, c’est justement l’attention portée aux détails qui fait toute la différence. Un criminel peut prendre toutes les précautions, il ne pourra lutter sur certains signes distinctifs, parfois insignifiants.
J’ai adoré Incendie nocturne, autant pour le suspense au sujet des crimes que pour les relations fraternelles entre Harry et Renée. Les enquêtes m’ont passionnée et tenue en haleine, car sincèrement, j’ai été épatée par la manière dont les fils s’entremêlent, j’avais hâte qu’ils soient tirés et qu’ils révèlent ce qu’ils cachent. Toutes les réponses au sujet d’Incendie nocturne ont été apportées, cependant la fin laisse penser que tout n’a pas été dévoilé et attise mon impatience de retrouver nos amis.
Le tome de la complicité
John Jack Thompson était le mentor d’Harry Bosch à ses débuts. Il était celui qui avait formé notre héros et était à l’origine de ce précepte cher à son cœur : « Tout le monde compte ou personne ». Il lui avait également enseigné que, dans chaque affaire, il fallait trouver l’élément qui permet à l’enquêteur de garder « le feu sacré », cette connexion avec la victime qui fait qu’un policier s’investit entièrement pour découvrir la vérité. Aussi, lorsque la veuve de Thompson lui remet un livre de meurtre que son mari a volé aux scellés, avant de partir en retraite, Harry décide de reprendre les investigations et sollicite l’aide de Renée Ballard. Tous les deux s’interrogent sur la présence du dossier au domicile du défunt. En effet, depuis plus de vingt ans, aucune entrée ne figure au sujet de ce crime commis dans une impasse de Los Angeles. Il semblerait que Thompson ait voulu empêcher la résolution de l’affaire.
Renée, quant à elle, enquête sur un sans-abri retrouvé calciné, dans sa tente. Elle réfute la thèse de l’accident. Les deux associés apportent, aussi, leur aide au demi-frère d’Harry, l’avocat Mickey Haller. Ce dernier défend un homme accusé d’avoir tué un juge. Et si la science s’était trompée ? Enfin, Bosch affronte de terribles nouvelles personnelles et est déterminé à obtenir justice.
C’est le troisième livre autour du duo Bosch-Ballard et il est celui de la complicité. Tous deux ont appris à se connaître et veillent l’un sur l’autre. Harry est très protecteur avec Renée, veillant à ce qu’elle ne s’épuise pas et ne se mette pas en danger. Quant à la jeune femme, elle reste attentive à ce que son co-équipier non officiel n’ait pas d’ennuis. Aussi, lorsqu’il lui apporte son aide, elle est plus respectueuse des procédures qu’habituellement. L’alchimie professionnelle fonctionne à merveille.
Harry Bosch est très émouvant dans ce tome. Alors qu’il subit des épreuves terribles, il ne se plaint pas et agit pour le bien de ceux qu’il aime. Il fait preuve d’abnégation et cherche à préserver son entourage.
Les techniques d’investigation sont décrites avec précision. Michael Connelly montre leurs forces et leurs limites. Il explique aussi de quelle manière chaque dossier porte l’empreinte du policier qui le traite. Il ressort que, malgré les protocoles, chacun ajoute son histoire et sa personnalité. Ces éléments influent sur l’attention à certains indices, mais c’est, également, ce qui donne le « feu sacré », et pousse chacun à se surpasser. Dans les affaires qui occupent les deux partenaires, c’est justement l’attention portée aux détails qui fait toute la différence. Un criminel peut prendre toutes les précautions, il ne pourra lutter sur certains signes distinctifs, parfois insignifiants.
J’ai adoré Incendie nocturne, autant pour le suspense au sujet des crimes que pour les relations fraternelles entre Harry et Renée. Les enquêtes m’ont passionnée et tenue en haleine, car sincèrement, j’ai été épatée par la manière dont les fils s’entremêlent, j’avais hâte qu’ils soient tirés et qu’ils révèlent ce qu’ils cachent. Toutes les réponses au sujet d’Incendie nocturne ont été apportées, cependant la fin laisse penser que tout n’a pas été dévoilé et attise mon impatience de retrouver nos amis.