Impressions d'Allemagne pendant la Révolution de 1848. Notice biographique et notes de Francis Ley

Par : Paul de Krüdener

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages132
  • PrésentationBroché
  • Poids0.195 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-7475-1811-6
  • EAN9782747518116
  • Date de parution09/02/2002
  • CollectionAllemagne d'hier & aujourd'hui
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Le rédacteur de ces Impressions enregistrées sur le vif lors de la révolution de 1848 en Allemagne était le fils de l'illustre Mme de Krüdener, auteur de Valérie (1803) et égérie mystique du tsar Alexandre 1er (1815). Ambassadeur de Russie en Suisse, puis aux Etats-Unis pendant dix ans. Krüdener revint en Helvétie en 1836. Il y fut témoin temporisateur de la guerre civile dite du "Sonderbund" en 1847, et assista à la révolution de 1848 en Allemagne comme résident à Francfort.
C'est là qu'il vécut les pires journées révolutionnaires qu'il relate ici. Enfin, lors du soulèvement royaliste pro-prussien de Neuchâtel en 1856, il suggéra au gouvernement d'Alexandre II d'intervenir auprès du roi de Puisse, parent du tsar, pour qu'il renonce à ses droits sur Neuchâtel, ce qui se réalisa au Congrès de Paris (1857), où la paix de l'Europe fut sauvée.
Le rédacteur de ces Impressions enregistrées sur le vif lors de la révolution de 1848 en Allemagne était le fils de l'illustre Mme de Krüdener, auteur de Valérie (1803) et égérie mystique du tsar Alexandre 1er (1815). Ambassadeur de Russie en Suisse, puis aux Etats-Unis pendant dix ans. Krüdener revint en Helvétie en 1836. Il y fut témoin temporisateur de la guerre civile dite du "Sonderbund" en 1847, et assista à la révolution de 1848 en Allemagne comme résident à Francfort.
C'est là qu'il vécut les pires journées révolutionnaires qu'il relate ici. Enfin, lors du soulèvement royaliste pro-prussien de Neuchâtel en 1856, il suggéra au gouvernement d'Alexandre II d'intervenir auprès du roi de Puisse, parent du tsar, pour qu'il renonce à ses droits sur Neuchâtel, ce qui se réalisa au Congrès de Paris (1857), où la paix de l'Europe fut sauvée.