Impossible Afrique, sans le social. Précis de sociologie du souterrain
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- Nombre de pages376
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.59 kg
- Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-343-20072-9
- EAN9782343200729
- Date de parution03/07/2020
- CollectionEtudes africaines. Sociologie
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Loin d'être "fantôme", "ambigüe", "mal partie", "déboussolée", l'Afrique noire n'est plus celle du "développement", paradigme aujourd'hui obsolète. Elle est actuellement l'objet d'une interpellation sociologique qui allie anthropologie, histoire, géographie et philosophie : la révolution spirituelle. Celle-ci a une source inépuisable logée au creux de ses apparences : le social impliquant le véritable vivre-ensemble auquel l'Afrique des nouvelles monarchisations tourne le dos par des discours et pratiques populistes et de "peuplecratie" de ses dirigeants.
Le social africain est une philosophie qui exprime l'ontologie de l'être dans le monde ; une anthropologie de l'un avec l'autre ; une sociologie dont le fait social est le relationnel. Ce dernier est constitutif des logiques du solidaire, du sociable, du sodalitaire, de l'altruiste, de l'empathique qui rapprochent, lient, unissent, intègrent qu'on soit opposant ou pas, du parti au pouvoir ou pas en ne tenant compte que des idées, car ce sont les industries axiologiques africaines.
Les systèmes sociaux africains produits de l'Etat occidental importé s'avèrent être aujourd'hui une hybridation anti-africaine. Le tréfonds sociologique africain résiste encore farouchement à l'imposition des véritables logiques libérales du capitalisme mondialisant, même si l'ordre du monde fait encore du continent noir, le grenier des puissants. En luttant contre le mauvais coeur des dirigeants africains à l'origine des politiques de longévité aboutissant aux monarchies anticonstitutionnelles et antidémocratiques, aux régimes de destruction des droits humains, en recourant à ses industries axiologiques condensant le spirituel et le matériel, l'Afrique est à même d'opérer une synergie subversive qui bouleverse l'ordre du monde où elle n'est encore qu'un renégat.
Le social africain est une philosophie qui exprime l'ontologie de l'être dans le monde ; une anthropologie de l'un avec l'autre ; une sociologie dont le fait social est le relationnel. Ce dernier est constitutif des logiques du solidaire, du sociable, du sodalitaire, de l'altruiste, de l'empathique qui rapprochent, lient, unissent, intègrent qu'on soit opposant ou pas, du parti au pouvoir ou pas en ne tenant compte que des idées, car ce sont les industries axiologiques africaines.
Les systèmes sociaux africains produits de l'Etat occidental importé s'avèrent être aujourd'hui une hybridation anti-africaine. Le tréfonds sociologique africain résiste encore farouchement à l'imposition des véritables logiques libérales du capitalisme mondialisant, même si l'ordre du monde fait encore du continent noir, le grenier des puissants. En luttant contre le mauvais coeur des dirigeants africains à l'origine des politiques de longévité aboutissant aux monarchies anticonstitutionnelles et antidémocratiques, aux régimes de destruction des droits humains, en recourant à ses industries axiologiques condensant le spirituel et le matériel, l'Afrique est à même d'opérer une synergie subversive qui bouleverse l'ordre du monde où elle n'est encore qu'un renégat.
Loin d'être "fantôme", "ambigüe", "mal partie", "déboussolée", l'Afrique noire n'est plus celle du "développement", paradigme aujourd'hui obsolète. Elle est actuellement l'objet d'une interpellation sociologique qui allie anthropologie, histoire, géographie et philosophie : la révolution spirituelle. Celle-ci a une source inépuisable logée au creux de ses apparences : le social impliquant le véritable vivre-ensemble auquel l'Afrique des nouvelles monarchisations tourne le dos par des discours et pratiques populistes et de "peuplecratie" de ses dirigeants.
Le social africain est une philosophie qui exprime l'ontologie de l'être dans le monde ; une anthropologie de l'un avec l'autre ; une sociologie dont le fait social est le relationnel. Ce dernier est constitutif des logiques du solidaire, du sociable, du sodalitaire, de l'altruiste, de l'empathique qui rapprochent, lient, unissent, intègrent qu'on soit opposant ou pas, du parti au pouvoir ou pas en ne tenant compte que des idées, car ce sont les industries axiologiques africaines.
Les systèmes sociaux africains produits de l'Etat occidental importé s'avèrent être aujourd'hui une hybridation anti-africaine. Le tréfonds sociologique africain résiste encore farouchement à l'imposition des véritables logiques libérales du capitalisme mondialisant, même si l'ordre du monde fait encore du continent noir, le grenier des puissants. En luttant contre le mauvais coeur des dirigeants africains à l'origine des politiques de longévité aboutissant aux monarchies anticonstitutionnelles et antidémocratiques, aux régimes de destruction des droits humains, en recourant à ses industries axiologiques condensant le spirituel et le matériel, l'Afrique est à même d'opérer une synergie subversive qui bouleverse l'ordre du monde où elle n'est encore qu'un renégat.
Le social africain est une philosophie qui exprime l'ontologie de l'être dans le monde ; une anthropologie de l'un avec l'autre ; une sociologie dont le fait social est le relationnel. Ce dernier est constitutif des logiques du solidaire, du sociable, du sodalitaire, de l'altruiste, de l'empathique qui rapprochent, lient, unissent, intègrent qu'on soit opposant ou pas, du parti au pouvoir ou pas en ne tenant compte que des idées, car ce sont les industries axiologiques africaines.
Les systèmes sociaux africains produits de l'Etat occidental importé s'avèrent être aujourd'hui une hybridation anti-africaine. Le tréfonds sociologique africain résiste encore farouchement à l'imposition des véritables logiques libérales du capitalisme mondialisant, même si l'ordre du monde fait encore du continent noir, le grenier des puissants. En luttant contre le mauvais coeur des dirigeants africains à l'origine des politiques de longévité aboutissant aux monarchies anticonstitutionnelles et antidémocratiques, aux régimes de destruction des droits humains, en recourant à ses industries axiologiques condensant le spirituel et le matériel, l'Afrique est à même d'opérer une synergie subversive qui bouleverse l'ordre du monde où elle n'est encore qu'un renégat.