Implication des forces de sécurité et de défense dans le processus de démocratisation de l'Etat au Sénégal
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- Nombre de pages344
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.52 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 0,2 cm
- ISBN978-2-343-21061-2
- EAN9782343210612
- Date de parution10/06/2021
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierIsmaïla Madior Fall
Résumé
La présente étude appréhende l'implication des forces de sécurité et de défense dans le processus de démocratisation au Sénégal. Epargné par les prises de pouvoir non démocratiques depuis son accession à la souveraineté internationale, le Sénégal fait figure de véritable référence sur le continent africain. Si plusieurs facteurs justifient cette stabilité, le rôle joué par les forces de sécurité et de défense en est sans nul doute l'un des plus déterminants.
Leur implication dans le processus de démocratisation est effective à bien des égards. En analysant les principales caractéristiques de notre outil sécuritaire et en étudiant la manière dont nos forces de défense et de sécurité ont su à plusieurs reprises venir à bout des crises rencontrées par notre pays, on ne saurait douter de la réalité de cette effectivité. Toutefois cette implication quoiqu'effective n'en demeure pas moins limitée, pour au moins deux raisons : les membres des Forces de sécurité et de défense ont historiquement eu une participation timide dans le jeu politique stricto sensu ; ce à quoi s'ajoutent des difficultés dans la mise en oeuvre des politiques publiques de sécurité et de défense.
A l'évidence, ces limites témoignent de la perfectibilité de cette implication dans le processus démocratique. Il s'avère par conséquent nécessaire d'accroître la participation des forces de sécurité et de défense dans la démocratisation, par le respect d'un certain nombre d'exigences d'une part, et la redéfinition de leur posture stratégique d'autre part.
Leur implication dans le processus de démocratisation est effective à bien des égards. En analysant les principales caractéristiques de notre outil sécuritaire et en étudiant la manière dont nos forces de défense et de sécurité ont su à plusieurs reprises venir à bout des crises rencontrées par notre pays, on ne saurait douter de la réalité de cette effectivité. Toutefois cette implication quoiqu'effective n'en demeure pas moins limitée, pour au moins deux raisons : les membres des Forces de sécurité et de défense ont historiquement eu une participation timide dans le jeu politique stricto sensu ; ce à quoi s'ajoutent des difficultés dans la mise en oeuvre des politiques publiques de sécurité et de défense.
A l'évidence, ces limites témoignent de la perfectibilité de cette implication dans le processus démocratique. Il s'avère par conséquent nécessaire d'accroître la participation des forces de sécurité et de défense dans la démocratisation, par le respect d'un certain nombre d'exigences d'une part, et la redéfinition de leur posture stratégique d'autre part.
La présente étude appréhende l'implication des forces de sécurité et de défense dans le processus de démocratisation au Sénégal. Epargné par les prises de pouvoir non démocratiques depuis son accession à la souveraineté internationale, le Sénégal fait figure de véritable référence sur le continent africain. Si plusieurs facteurs justifient cette stabilité, le rôle joué par les forces de sécurité et de défense en est sans nul doute l'un des plus déterminants.
Leur implication dans le processus de démocratisation est effective à bien des égards. En analysant les principales caractéristiques de notre outil sécuritaire et en étudiant la manière dont nos forces de défense et de sécurité ont su à plusieurs reprises venir à bout des crises rencontrées par notre pays, on ne saurait douter de la réalité de cette effectivité. Toutefois cette implication quoiqu'effective n'en demeure pas moins limitée, pour au moins deux raisons : les membres des Forces de sécurité et de défense ont historiquement eu une participation timide dans le jeu politique stricto sensu ; ce à quoi s'ajoutent des difficultés dans la mise en oeuvre des politiques publiques de sécurité et de défense.
A l'évidence, ces limites témoignent de la perfectibilité de cette implication dans le processus démocratique. Il s'avère par conséquent nécessaire d'accroître la participation des forces de sécurité et de défense dans la démocratisation, par le respect d'un certain nombre d'exigences d'une part, et la redéfinition de leur posture stratégique d'autre part.
Leur implication dans le processus de démocratisation est effective à bien des égards. En analysant les principales caractéristiques de notre outil sécuritaire et en étudiant la manière dont nos forces de défense et de sécurité ont su à plusieurs reprises venir à bout des crises rencontrées par notre pays, on ne saurait douter de la réalité de cette effectivité. Toutefois cette implication quoiqu'effective n'en demeure pas moins limitée, pour au moins deux raisons : les membres des Forces de sécurité et de défense ont historiquement eu une participation timide dans le jeu politique stricto sensu ; ce à quoi s'ajoutent des difficultés dans la mise en oeuvre des politiques publiques de sécurité et de défense.
A l'évidence, ces limites témoignent de la perfectibilité de cette implication dans le processus démocratique. Il s'avère par conséquent nécessaire d'accroître la participation des forces de sécurité et de défense dans la démocratisation, par le respect d'un certain nombre d'exigences d'une part, et la redéfinition de leur posture stratégique d'autre part.