Imaginaires symboliques des frères Dardenne
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- Nombre de pages172
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.3 kg
- Dimensions16,9 cm × 22,0 cm × 1,2 cm
- ISBN979-10-320-0496-8
- EAN9791032004968
- Date de parution10/01/2024
- CollectionArts. Hors champ
- ÉditeurPU de Provence
Résumé
Le cinéma des frères Dardenne s'enracine dans une société en pleine mutation : à la crise économique, la fin du modèle industriel ou encore l'avènement de l'ère post-industrielle, répond une perte de repères. Comme en réaction à cette perte de significations sociétales et à la désillusion du temps présent, les cinéastes belges injectent, çà et là, des motifs esthétiques chargés d'imaginaires symboliques.
Cet ouvrage propose d'entrer dans la filmographie des frères Dardenne par le prisme de ces motifs qui nous rattachent à des imaginaires lointains, ancestraux ou archaïques. Les bottes de Rosetta, l'aiguille que manie sa mère, les chevalières, le tatouage et le fétiche de La Promesse, la ceinture d'Olivier dans Le Fils, le blouson dans L'Enfant, la couleur rouge dans Le Silence de Lorna et Le Gamin au vélo, ou encore la récurrence des eaux de la Meuse et des forêts liégeoises convoquent des contes, mythes, rites et traditions qui les précèdent.
En puisant dans ce grand réservoir d'imaginaires, ces motifs reversent leur symbolique dans des récits d'initiation qui conduisent les personnages vers leur devenir humain. Tout au long de cette étude, le visuel et le narratif dialoguent et s'enrichissent l'un l'autre. La dimension sociale de l'oeuvre des cinéastes belges se trouve ainsi mise en perspective grâce à une approche esthétique sous-tendue par tout un fonds de mémoire collective.
Cet ouvrage propose d'entrer dans la filmographie des frères Dardenne par le prisme de ces motifs qui nous rattachent à des imaginaires lointains, ancestraux ou archaïques. Les bottes de Rosetta, l'aiguille que manie sa mère, les chevalières, le tatouage et le fétiche de La Promesse, la ceinture d'Olivier dans Le Fils, le blouson dans L'Enfant, la couleur rouge dans Le Silence de Lorna et Le Gamin au vélo, ou encore la récurrence des eaux de la Meuse et des forêts liégeoises convoquent des contes, mythes, rites et traditions qui les précèdent.
En puisant dans ce grand réservoir d'imaginaires, ces motifs reversent leur symbolique dans des récits d'initiation qui conduisent les personnages vers leur devenir humain. Tout au long de cette étude, le visuel et le narratif dialoguent et s'enrichissent l'un l'autre. La dimension sociale de l'oeuvre des cinéastes belges se trouve ainsi mise en perspective grâce à une approche esthétique sous-tendue par tout un fonds de mémoire collective.
Le cinéma des frères Dardenne s'enracine dans une société en pleine mutation : à la crise économique, la fin du modèle industriel ou encore l'avènement de l'ère post-industrielle, répond une perte de repères. Comme en réaction à cette perte de significations sociétales et à la désillusion du temps présent, les cinéastes belges injectent, çà et là, des motifs esthétiques chargés d'imaginaires symboliques.
Cet ouvrage propose d'entrer dans la filmographie des frères Dardenne par le prisme de ces motifs qui nous rattachent à des imaginaires lointains, ancestraux ou archaïques. Les bottes de Rosetta, l'aiguille que manie sa mère, les chevalières, le tatouage et le fétiche de La Promesse, la ceinture d'Olivier dans Le Fils, le blouson dans L'Enfant, la couleur rouge dans Le Silence de Lorna et Le Gamin au vélo, ou encore la récurrence des eaux de la Meuse et des forêts liégeoises convoquent des contes, mythes, rites et traditions qui les précèdent.
En puisant dans ce grand réservoir d'imaginaires, ces motifs reversent leur symbolique dans des récits d'initiation qui conduisent les personnages vers leur devenir humain. Tout au long de cette étude, le visuel et le narratif dialoguent et s'enrichissent l'un l'autre. La dimension sociale de l'oeuvre des cinéastes belges se trouve ainsi mise en perspective grâce à une approche esthétique sous-tendue par tout un fonds de mémoire collective.
Cet ouvrage propose d'entrer dans la filmographie des frères Dardenne par le prisme de ces motifs qui nous rattachent à des imaginaires lointains, ancestraux ou archaïques. Les bottes de Rosetta, l'aiguille que manie sa mère, les chevalières, le tatouage et le fétiche de La Promesse, la ceinture d'Olivier dans Le Fils, le blouson dans L'Enfant, la couleur rouge dans Le Silence de Lorna et Le Gamin au vélo, ou encore la récurrence des eaux de la Meuse et des forêts liégeoises convoquent des contes, mythes, rites et traditions qui les précèdent.
En puisant dans ce grand réservoir d'imaginaires, ces motifs reversent leur symbolique dans des récits d'initiation qui conduisent les personnages vers leur devenir humain. Tout au long de cette étude, le visuel et le narratif dialoguent et s'enrichissent l'un l'autre. La dimension sociale de l'oeuvre des cinéastes belges se trouve ainsi mise en perspective grâce à une approche esthétique sous-tendue par tout un fonds de mémoire collective.


