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Ils sont food ces Romains
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- Nombre de pages64
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.376 kg
- Dimensions21,6 cm × 27,0 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-37680-114-6
- EAN9782376801146
- Date de parution20/10/2023
- ÉditeurCoédition Invenit/Musée archéolo...
- PréfacierJean Cauwel
Résumé
Catalogue publié à l'occasion de l'exposition "Ils sont food ces Romains" au musée archéologique de l'Oise (Vendeuil-Caply), du 11 février au 5 novembre 2023 Que mangeaient les Gaulois et, après la conquête romaine, les Gallo-romains ? Les échanges économiques entre les Celtes et Rome, déjà importants au 1er siècle av. J. -C. , se sont intensifiés, et à Vendeuil-Caply, par exemple, les vestiges de vaisselle trouvés lors des fouilles ont permis de confirmer, analyses scientifiques à l'appui, la circulation des denrées alimentaires.
Archéologues, archéobotanistes et chimistes, grâce à des techniques sophistiquées, ont pu faire parler les prélèvements de terre, les os ou les résidus végétaux. Ainsi, cet ouvrage éclaire les pratiques agricoles et culinaires des populations gallo-romaines, émet des hypothèses quant aux espèces d'arbres et de plantes cultivées, fait le point sur la pêche et l'élevage, et nous renseigne autant sur ce qui garnissait l'assiette de nos ancêtres que sur ce qui emplissait leurs jarres et leurs amphores.
Si les usages se modifient, si la culture alimentaire, faite d'influences réciproques, motive un fructueux commerce, les paysages eux aussi se remodèlent : de nouveaux arbres fruitiers, tels le cerisier et le noyer, font leur apparition, la céréaliculture se spécialise et s'oriente vers des céréales panifiables ; jouxtant les champs de blés nus ou les champs d'orge destinés à la cervoise, des vignes acclimatées sont dévolues à la production du vin.
Archéologues, archéobotanistes et chimistes, grâce à des techniques sophistiquées, ont pu faire parler les prélèvements de terre, les os ou les résidus végétaux. Ainsi, cet ouvrage éclaire les pratiques agricoles et culinaires des populations gallo-romaines, émet des hypothèses quant aux espèces d'arbres et de plantes cultivées, fait le point sur la pêche et l'élevage, et nous renseigne autant sur ce qui garnissait l'assiette de nos ancêtres que sur ce qui emplissait leurs jarres et leurs amphores.
Si les usages se modifient, si la culture alimentaire, faite d'influences réciproques, motive un fructueux commerce, les paysages eux aussi se remodèlent : de nouveaux arbres fruitiers, tels le cerisier et le noyer, font leur apparition, la céréaliculture se spécialise et s'oriente vers des céréales panifiables ; jouxtant les champs de blés nus ou les champs d'orge destinés à la cervoise, des vignes acclimatées sont dévolues à la production du vin.
Catalogue publié à l'occasion de l'exposition "Ils sont food ces Romains" au musée archéologique de l'Oise (Vendeuil-Caply), du 11 février au 5 novembre 2023 Que mangeaient les Gaulois et, après la conquête romaine, les Gallo-romains ? Les échanges économiques entre les Celtes et Rome, déjà importants au 1er siècle av. J. -C. , se sont intensifiés, et à Vendeuil-Caply, par exemple, les vestiges de vaisselle trouvés lors des fouilles ont permis de confirmer, analyses scientifiques à l'appui, la circulation des denrées alimentaires.
Archéologues, archéobotanistes et chimistes, grâce à des techniques sophistiquées, ont pu faire parler les prélèvements de terre, les os ou les résidus végétaux. Ainsi, cet ouvrage éclaire les pratiques agricoles et culinaires des populations gallo-romaines, émet des hypothèses quant aux espèces d'arbres et de plantes cultivées, fait le point sur la pêche et l'élevage, et nous renseigne autant sur ce qui garnissait l'assiette de nos ancêtres que sur ce qui emplissait leurs jarres et leurs amphores.
Si les usages se modifient, si la culture alimentaire, faite d'influences réciproques, motive un fructueux commerce, les paysages eux aussi se remodèlent : de nouveaux arbres fruitiers, tels le cerisier et le noyer, font leur apparition, la céréaliculture se spécialise et s'oriente vers des céréales panifiables ; jouxtant les champs de blés nus ou les champs d'orge destinés à la cervoise, des vignes acclimatées sont dévolues à la production du vin.
Archéologues, archéobotanistes et chimistes, grâce à des techniques sophistiquées, ont pu faire parler les prélèvements de terre, les os ou les résidus végétaux. Ainsi, cet ouvrage éclaire les pratiques agricoles et culinaires des populations gallo-romaines, émet des hypothèses quant aux espèces d'arbres et de plantes cultivées, fait le point sur la pêche et l'élevage, et nous renseigne autant sur ce qui garnissait l'assiette de nos ancêtres que sur ce qui emplissait leurs jarres et leurs amphores.
Si les usages se modifient, si la culture alimentaire, faite d'influences réciproques, motive un fructueux commerce, les paysages eux aussi se remodèlent : de nouveaux arbres fruitiers, tels le cerisier et le noyer, font leur apparition, la céréaliculture se spécialise et s'oriente vers des céréales panifiables ; jouxtant les champs de blés nus ou les champs d'orge destinés à la cervoise, des vignes acclimatées sont dévolues à la production du vin.
