Il y a des journalistes partout. De quelques coupures de presse relatives à Tristan Tzara et André Breton

Par : Marc Dachy

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay estimée à partir du 3 décembre
      Cet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 5 jours après la date de votre commande.
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages192
  • PrésentationBroché
  • Poids0.249 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,7 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-07-014944-5
  • EAN9782070149445
  • Date de parution13/05/2015
  • CollectionL'infini
  • ÉditeurGallimard

Résumé

De Zurich où, en 1917, il a baptisé Dada un groupe d'artistes et d'écrivains libres, sur le point de rejoindre à Paris dans les premiers jours de 1920 le futur groupe surréaliste, Tristan Tzara écrit à Francis Picabia : "Je m'imagine que l'idiotie est partout la même, puisqu'il y a partout des journalistes". Facétieux et habiles furent les dadaïstes de la première vague qui se jouaient des journaux et les piégeaient avec humour en y faisant passer de fausses nouvelles, des échos ironiques, des faits divers suspects.
Viennent des temps plus graves où l'on distingue en ces jeunes poètes, dont André Breton, les esprits les plus brillants et les plus avertis de leur temps. Subversifs donc, et en première ligne. Contre toute attente, entre petite et grande histoire, articles, interviews, notes, entrefilets en disent long et rendent vie aux contextes d'une époque qui détermine la nôtre. Ces traces éphémères d'une grande diversité forment au total encore une autre facette, saisissante et passionnante, de la lecture et de la réception de ces avant-gardes.
De Zurich où, en 1917, il a baptisé Dada un groupe d'artistes et d'écrivains libres, sur le point de rejoindre à Paris dans les premiers jours de 1920 le futur groupe surréaliste, Tristan Tzara écrit à Francis Picabia : "Je m'imagine que l'idiotie est partout la même, puisqu'il y a partout des journalistes". Facétieux et habiles furent les dadaïstes de la première vague qui se jouaient des journaux et les piégeaient avec humour en y faisant passer de fausses nouvelles, des échos ironiques, des faits divers suspects.
Viennent des temps plus graves où l'on distingue en ces jeunes poètes, dont André Breton, les esprits les plus brillants et les plus avertis de leur temps. Subversifs donc, et en première ligne. Contre toute attente, entre petite et grande histoire, articles, interviews, notes, entrefilets en disent long et rendent vie aux contextes d'une époque qui détermine la nôtre. Ces traces éphémères d'une grande diversité forment au total encore une autre facette, saisissante et passionnante, de la lecture et de la réception de ces avant-gardes.
La terre est ronde
Gertrude Stein
E-book
5,99 €
Courrier Dada
Raoul Hausmann
23,30 €