Né à Paris en 1968, l’écrivain et traducteur Jérôme Ferrari est d’origine française. Il a passé son enfance et sa jeunesse entre Paris et la Corse. Titulaire de l’agrégation de philosophie, sa passion pour la littérature remonte à ses toutes premières années d'école. Il est aujourd’hui l’auteur de nombreux ouvrages.
Son œuvre « Le Sermon sur la chute de Rome » est sans doute l’une des plus connues. Ce roman lui a d’ailleurs permis de remporter le prix Goncourt. Dans ce livre, Jérôme Ferrari mène la réflexion sur le déclin de l’Occident. C’est l’histoire de deux parisiens d’origine corse. Ils décident de reprendre un bar perdu quelque part dans la montagne pour en faire un jardin paradisiaque. Ils veulent le transformer en un paradis sur terre. Cette quête d’une vie meilleure aboutira-t-elle ?
Philosophe, les questions sur l’existence sont au cœur des ouvrages de Jérôme Ferrari. Dans le roman « Où j'ai laissé mon âme », il s'interroge sur le bien et le mal, la souffrance et la peur. L’action se déroule en Algérie et met en scène le capitaine André Degorce, le lieutenant Horace Andreani et le commandant Tahar.
Il se passe quelque chose
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- Nombre de pages160
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.164 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-08-140883-8
- EAN9782081408838
- Date de parution01/03/2017
- ÉditeurFlammarion
Résumé
Depuis l'attentat contre Charlie Hebdo, nous vivons dans une ambiance détestable que la classe politique, par cynisme ou par simple bêtise, a contribué à rendre plus détestable encore en favorisant ce que Spinoza appelle les passions tristes, la jalousie, le ressentiment et, surtout, la peur. Le pouvoir de ces passions est terrifiant. On ne peut évidemment pas y faire efficacement obstacle en publiant des articles dans les journaux.
Mais il est des moments, en dehors de toute considération d'efficacité, où se taire, quand on a le privilège de pouvoir s'exprimer, devient une faute.
Mais il est des moments, en dehors de toute considération d'efficacité, où se taire, quand on a le privilège de pouvoir s'exprimer, devient une faute.
Depuis l'attentat contre Charlie Hebdo, nous vivons dans une ambiance détestable que la classe politique, par cynisme ou par simple bêtise, a contribué à rendre plus détestable encore en favorisant ce que Spinoza appelle les passions tristes, la jalousie, le ressentiment et, surtout, la peur. Le pouvoir de ces passions est terrifiant. On ne peut évidemment pas y faire efficacement obstacle en publiant des articles dans les journaux.
Mais il est des moments, en dehors de toute considération d'efficacité, où se taire, quand on a le privilège de pouvoir s'exprimer, devient une faute.
Mais il est des moments, en dehors de toute considération d'efficacité, où se taire, quand on a le privilège de pouvoir s'exprimer, devient une faute.