Il fera bleu !. Journal 2002-2005

Par : Jacques Chancel

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  • Nombre de pages333
  • PrésentationBroché
  • Poids0.53 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,8 cm
  • ISBN2-268-05497-7
  • EAN9782268054971
  • Date de parution30/06/2005
  • ÉditeurRocher (Editions du)

Résumé

" Entre radio, télévision, chroniques, essais, romans, nouvelles, voyages, j'ai toujours trouvé le temps de saisir l'éphémère et d'en dire la légèreté. L'essentiel n'est-il pas de fixer au quotidien quelques itinéraires et d'ainsi ordonner la mémoire ? Manière de poser des bornes sur des parcours cahotants. Les diaristes sont de deux sortes. Il y a d'un côté les cabossés de la vie qui racontent leurs intimes malheurs, de l'autre les curieux, moins nombrilistes, qui regardent le monde en évitant de se lamenter. Je serais plutôt de ce dernier versant. Le journal m'est une quête permanente des comportements de nos contemporains. Je rabâche volontiers l'antique sentence de Lao Tseu : la façade d'une maison n'appartient pas à celui qui la possède mais à celui qui la regarde. Le Journal, c'est encore autre chose. Une façon de respirer l'époque, de regarder nos semblables, de retenir les mois qui passent de plus en plus vite. Nous voilà déjà en 2005, au XXIe siècle. Ai-je bien vu ce que je suis censé comprendre ? Je n'en suis pas si sûr. J'aurai habité du moins ces deux dernières années que, par souci d'esthétisme, je peins quand même en bleu. Inconscience de l'optimisme. " Jacques Chancel
" Entre radio, télévision, chroniques, essais, romans, nouvelles, voyages, j'ai toujours trouvé le temps de saisir l'éphémère et d'en dire la légèreté. L'essentiel n'est-il pas de fixer au quotidien quelques itinéraires et d'ainsi ordonner la mémoire ? Manière de poser des bornes sur des parcours cahotants. Les diaristes sont de deux sortes. Il y a d'un côté les cabossés de la vie qui racontent leurs intimes malheurs, de l'autre les curieux, moins nombrilistes, qui regardent le monde en évitant de se lamenter. Je serais plutôt de ce dernier versant. Le journal m'est une quête permanente des comportements de nos contemporains. Je rabâche volontiers l'antique sentence de Lao Tseu : la façade d'une maison n'appartient pas à celui qui la possède mais à celui qui la regarde. Le Journal, c'est encore autre chose. Une façon de respirer l'époque, de regarder nos semblables, de retenir les mois qui passent de plus en plus vite. Nous voilà déjà en 2005, au XXIe siècle. Ai-je bien vu ce que je suis censé comprendre ? Je n'en suis pas si sûr. J'aurai habité du moins ces deux dernières années que, par souci d'esthétisme, je peins quand même en bleu. Inconscience de l'optimisme. " Jacques Chancel
N'oublie pas de vivre
Jacques Chancel
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