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"Il ne s'agit plus de commenter ou de comprendre le réel : il s'agit de produire du réel. Ce qui tue aujourd'hui et avant tout, c'est notre manque d'imagination. L'art, la littérature, la poésie sont des armes de précision. Il va falloir Les dégainer. Et n'avoir pas peur de ceux qui crieront au scandale et à la trahison". En répondant aux questions brûlantes d'actualité de Carole Guilbaud, Aurélien Barrau remet le politique et Le social au coeur de l'écologie.
Il nous aiguillonne vers un renouveau démocratique où ta liberté la plus fondamentale est d'abord celle du pouvoir vivre. Dans la lignée de la revue Apulée, engagée dans la défense indéfectible des libertés et attachée aux voix du monde, Les Apuléennes proposent des entretiens, essais, articles et analyses en résonance directe avec les enjeux et les perspectives actuels.
Un monde sans imagination
Une revue à lire de toute urgence ! Il s'agit d'un entretien entre Carole Guilbaud et Aurélien Barrau qui souligne la plus cruelle constatation possible : le monde n'a plus d'imagination. L'art et la poésie deviennent des divertissements pour la masse et non plus des armes contre une société qui s'effondre sur elle-même. Un bilan nécessaire, dressé par Aurélien Barrau, qui finira d'achever les nombreuses idées reçues sur le sujet.