Homme politique. Ancien élève de l'Ecole normale supérieure (1878). Agrégé de philosophie. Docteur ès lettres (1892). Député du Tarn (1885-1889 ; 1893-1898 ; 1902-1914). Fondateur du journal "L' Humanité" (en avril 1904). Un des principaux artisans de la fusion des deux partis socialistes français qui donnèrent naissance (en 1905), à la S.F.I.O (Section Française de l'Internationale Ouvrière).
Il faut sauver les Arméniens
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- Nombre de pages77
- PrésentationBroché
- Poids0.06 kg
- Dimensions10,5 cm × 15,0 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-84205-994-1
- EAN9782842059941
- Date de parution17/01/2007
- CollectionLa petite collection
- ÉditeurMille et une nuits
Résumé
Le 3 décembre 1896, un jeune député du Tarn s'adresse aux représentants de la nation française. On massacre des arméniens dans l'Est anatolien. Certains voudraient passer sous silences ces massacres. A la tribune, Jean Jaurès dénonce la lâcheté intéressée de la politique du ministre des Affaires étrangères depuis plus de deux ans à l'égard du " sultan rouge ". Si la France restait sans voix, paralysée pour des raisons économiques, elle encouragerait l'Empire ottoman à maltraiter ses minorités.
Au nom de la paix, de la justice et du droit, il rappelle que la morale démocratique impose le combat de la tyrannie où qu'elle soit. Jaurès avait bien vu que des processus d'extermination se dessinaient déjà, à la fin du XIXe siècle, et que les puissances et les opinions publiques devaient exercer toute leur influence pour les enrayer. Son discours restera l'un des plus marquants de la troisième république.
Au nom de la paix, de la justice et du droit, il rappelle que la morale démocratique impose le combat de la tyrannie où qu'elle soit. Jaurès avait bien vu que des processus d'extermination se dessinaient déjà, à la fin du XIXe siècle, et que les puissances et les opinions publiques devaient exercer toute leur influence pour les enrayer. Son discours restera l'un des plus marquants de la troisième république.
Le 3 décembre 1896, un jeune député du Tarn s'adresse aux représentants de la nation française. On massacre des arméniens dans l'Est anatolien. Certains voudraient passer sous silences ces massacres. A la tribune, Jean Jaurès dénonce la lâcheté intéressée de la politique du ministre des Affaires étrangères depuis plus de deux ans à l'égard du " sultan rouge ". Si la France restait sans voix, paralysée pour des raisons économiques, elle encouragerait l'Empire ottoman à maltraiter ses minorités.
Au nom de la paix, de la justice et du droit, il rappelle que la morale démocratique impose le combat de la tyrannie où qu'elle soit. Jaurès avait bien vu que des processus d'extermination se dessinaient déjà, à la fin du XIXe siècle, et que les puissances et les opinions publiques devaient exercer toute leur influence pour les enrayer. Son discours restera l'un des plus marquants de la troisième république.
Au nom de la paix, de la justice et du droit, il rappelle que la morale démocratique impose le combat de la tyrannie où qu'elle soit. Jaurès avait bien vu que des processus d'extermination se dessinaient déjà, à la fin du XIXe siècle, et que les puissances et les opinions publiques devaient exercer toute leur influence pour les enrayer. Son discours restera l'un des plus marquants de la troisième république.