Vincent Berne achève sous la direction de Christiane Chauviré (Université Paris I-Panthéon Sorbonne) une thèse de doctorat en philosophie consacrée à la question de l'individuation chez Whitehead.
Identité et invisibilité du cinéma. Le vide constitutif de limage dans Hélas pour moi de J.-L. Godard
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- Nombre de pages130
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.12 kg
- Dimensions10,0 cm × 18,0 cm × 13,0 cm
- ISBN978-2-930517-09-4
- EAN9782930517094
- Date de parution01/01/2010
- ÉditeurChromatika
Résumé
Le présent essai entend réserver à l'œuvre de Jean-Luc Godard un sort comparable à celui auquel il a habitué les philosophes, les écrivains et les artistes qu'il cite abondamment dans ses films et, souvent, très librement : en faire le levier d'un questionnement personnel portant sur des sujets à mi-chemin entre art, philosophie et théologie, mais tous liés à la question du sens de la destinée humaine.
Il s'attache en particulier à rendre plus claires les raisons pour lesquelles le cinéaste fait un usage répété, depuis les années quatre-vingt, de la référence à de mystérieuses "icônes" cinématographiques.
Il s'attache en particulier à rendre plus claires les raisons pour lesquelles le cinéaste fait un usage répété, depuis les années quatre-vingt, de la référence à de mystérieuses "icônes" cinématographiques.
Le présent essai entend réserver à l'œuvre de Jean-Luc Godard un sort comparable à celui auquel il a habitué les philosophes, les écrivains et les artistes qu'il cite abondamment dans ses films et, souvent, très librement : en faire le levier d'un questionnement personnel portant sur des sujets à mi-chemin entre art, philosophie et théologie, mais tous liés à la question du sens de la destinée humaine.
Il s'attache en particulier à rendre plus claires les raisons pour lesquelles le cinéaste fait un usage répété, depuis les années quatre-vingt, de la référence à de mystérieuses "icônes" cinématographiques.
Il s'attache en particulier à rendre plus claires les raisons pour lesquelles le cinéaste fait un usage répété, depuis les années quatre-vingt, de la référence à de mystérieuses "icônes" cinématographiques.