Pascal Rabaté naît en 1961. Il étudie la gravure aux Beaux-Arts d'Angers, puis exerce différents métiers avant de se lancer en bande dessinée. Ses premiers livres paraissent en 1989 chez Futuropolis. Dix années et autant de livres plus tard, il signe le premier tome d'Ibicus, l'adaptation expressionniste et magistrale d'un roman d'Alexeï Tolstoï. Les quatre volumes qui la composent connaissent un succès public et critique retentissant (Alph-Art du meilleur album à Angoulême en 2000, notamment). Des "Pieds dedans" aux "Petits Ruisseaux" en passant par "Un ver dans le fruit", Rabaté est aussi le conteur singulier de la France profonde. S'il vit toujours à Angers, il brille pourtant par sa capacité à n'être jamais là où on l'attend. Son adaptation de "Harry est fou" en est une nouvelle preuve.
Ibicus. Tome 4
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- Nombre de pages144
- PrésentationBroché
- Poids0.85 kg
- Dimensions23,0 cm × 32,0 cm × 1,8 cm
- ISBN2-86967-954-8
- EAN9782869679542
- Date de parution30/10/2001
- ÉditeurVents d'Ouest
Résumé
Le bateau laissé en quarantaine, dans lequel croupit Siméon, finit par accoster sur une petite île au large d'Istambul. En attente de visas, les Russes réorganisent une micro-société sur une île infestée par les cafards. Epié par le contre-espionnage, Siméon se déguise en Turc, mais se fait tout de même attraper par Liverovski, la veille d'obtenir son visa ! Le message est clair : soit Siméon assassine Burstein, soit il est balancé aux forces alliées.
Mais il rate son coup et se fait rosser par la police du contre-espionnage. Laissé pour mort dans la forêt, sans un sou, on le retrouve mendiant dans les bas quartiers d'Istambul, réduit à faire les poubelles, lui, le comte Nevzorov ! Et voilà qu'il vire maquereau... "Tu n'es qu'un cafard, mais tu es sous le signe d'Ibicus, le crâne qui parle. ".
Mais il rate son coup et se fait rosser par la police du contre-espionnage. Laissé pour mort dans la forêt, sans un sou, on le retrouve mendiant dans les bas quartiers d'Istambul, réduit à faire les poubelles, lui, le comte Nevzorov ! Et voilà qu'il vire maquereau... "Tu n'es qu'un cafard, mais tu es sous le signe d'Ibicus, le crâne qui parle. ".
Le bateau laissé en quarantaine, dans lequel croupit Siméon, finit par accoster sur une petite île au large d'Istambul. En attente de visas, les Russes réorganisent une micro-société sur une île infestée par les cafards. Epié par le contre-espionnage, Siméon se déguise en Turc, mais se fait tout de même attraper par Liverovski, la veille d'obtenir son visa ! Le message est clair : soit Siméon assassine Burstein, soit il est balancé aux forces alliées.
Mais il rate son coup et se fait rosser par la police du contre-espionnage. Laissé pour mort dans la forêt, sans un sou, on le retrouve mendiant dans les bas quartiers d'Istambul, réduit à faire les poubelles, lui, le comte Nevzorov ! Et voilà qu'il vire maquereau... "Tu n'es qu'un cafard, mais tu es sous le signe d'Ibicus, le crâne qui parle. ".
Mais il rate son coup et se fait rosser par la police du contre-espionnage. Laissé pour mort dans la forêt, sans un sou, on le retrouve mendiant dans les bas quartiers d'Istambul, réduit à faire les poubelles, lui, le comte Nevzorov ! Et voilà qu'il vire maquereau... "Tu n'es qu'un cafard, mais tu es sous le signe d'Ibicus, le crâne qui parle. ".