Huiles & Sanguines. Peintures et écrits

Par : Jean-Marie Lhomme
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  • Nombre de pages180
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.795 kg
  • Dimensions21,0 cm × 29,7 cm × 1,0 cm
  • ISBN979-10-309-0545-8
  • EAN9791030905458
  • Date de parution20/11/2024
  • CollectionGrands formats
  • ÉditeurOrizons

Résumé

Lorsque Jean-Marie Lhomme s'est décidé à naître, en 1946, la Franche-Comté. comme Pontarlier au pays du Ilaut-Doubs, sortait de la Seconde Guerre mondiale. Dans le champ pictural. Jean-Marie nomme se fait connaître en 1978 à Paris au Salon des Artistes Français (Grand-Palais), lors d'une rétrospective des Surréalistes Belges : " Métamorphoses " (,Magritte, Delvaux. Labisse...). Avant que la fondation " Bilan de l'Art Contemporain " ne sélectionne les sanguines Masques (1982) -ici en couverture- et Glutton (1982).
pour être présentées, en avril 1983. à l'Art-Expo. au Coliseum de New York. Mais c'est surtout en 1990. au Salon d'Automne, qu'il se fera remarquer par son "tracé " à la sanguine (Psyché). ainsi qu'en automne 1992. toujours au Grand- Palais de Paris, par une autre sanguine d'une facture exceptionnelle, L'Athlète. L'oeuvre de Jean-Marie Lhomme apparais assez vite comme une révolution clans le domaine de la sanguine.
Chez cet artiste, dont la poésie fut la Sine initiatrice, il n'est plus question de détenir son art dans le champ des dessins colorés préparatoires à une fresque, ou dans celui de simples croquis exploratoires. ni même d'esquisses plus élaborées. la sanguine est devenue un art tout à la fois premier et terminal, affranchi de la dominante des nus et des portraits.
Lorsque Jean-Marie Lhomme s'est décidé à naître, en 1946, la Franche-Comté. comme Pontarlier au pays du Ilaut-Doubs, sortait de la Seconde Guerre mondiale. Dans le champ pictural. Jean-Marie nomme se fait connaître en 1978 à Paris au Salon des Artistes Français (Grand-Palais), lors d'une rétrospective des Surréalistes Belges : " Métamorphoses " (,Magritte, Delvaux. Labisse...). Avant que la fondation " Bilan de l'Art Contemporain " ne sélectionne les sanguines Masques (1982) -ici en couverture- et Glutton (1982).
pour être présentées, en avril 1983. à l'Art-Expo. au Coliseum de New York. Mais c'est surtout en 1990. au Salon d'Automne, qu'il se fera remarquer par son "tracé " à la sanguine (Psyché). ainsi qu'en automne 1992. toujours au Grand- Palais de Paris, par une autre sanguine d'une facture exceptionnelle, L'Athlète. L'oeuvre de Jean-Marie Lhomme apparais assez vite comme une révolution clans le domaine de la sanguine.
Chez cet artiste, dont la poésie fut la Sine initiatrice, il n'est plus question de détenir son art dans le champ des dessins colorés préparatoires à une fresque, ou dans celui de simples croquis exploratoires. ni même d'esquisses plus élaborées. la sanguine est devenue un art tout à la fois premier et terminal, affranchi de la dominante des nus et des portraits.