"L'hôpital est une maison d'homme, comme le logis est une maison d'homme," énonça Le Corbusier lorsqu'il conçut l'hôpital de Venise en 1964. L'humain serait donc la clé pour la conception d'architectures hospitalières ? Sans aucun doute. Fruit d'un travail solidaire, l'extension du C.H.U. Henri Mondor à Créteil, réalisée par l'agence Brunet Saunier Architecture, le bureau d'études WSP et l'entreprise Rabot Dutilleul, a démontré que l'hôpital était avant tout une architecture vivante, portée par l'engagement passionné de tous ses acteurs ; de ceux qui le conçoivent à ceux qui l'utilisent, en passant par ceux qui le font fonctionner.
Cette oeuvre collective, portée par l'Assistance Publique - Hôpitaux de Paris, réunit sous un même toit services de soins critiques et blocs chirurgicaux, le tout au profit de ses usagers. Mis à disposition 6 mois avant la livraison initialement prévue, pour accueillir les malades souffrant de la Covid-19, le bâtiment, renommé Reine en hommage à une cadre de l'AP-HP décédée de la maladie, a connu un dessein peu commun, digne d'être raconté.
"L'hôpital est une maison d'homme, comme le logis est une maison d'homme," énonça Le Corbusier lorsqu'il conçut l'hôpital de Venise en 1964. L'humain serait donc la clé pour la conception d'architectures hospitalières ? Sans aucun doute. Fruit d'un travail solidaire, l'extension du C.H.U. Henri Mondor à Créteil, réalisée par l'agence Brunet Saunier Architecture, le bureau d'études WSP et l'entreprise Rabot Dutilleul, a démontré que l'hôpital était avant tout une architecture vivante, portée par l'engagement passionné de tous ses acteurs ; de ceux qui le conçoivent à ceux qui l'utilisent, en passant par ceux qui le font fonctionner.
Cette oeuvre collective, portée par l'Assistance Publique - Hôpitaux de Paris, réunit sous un même toit services de soins critiques et blocs chirurgicaux, le tout au profit de ses usagers. Mis à disposition 6 mois avant la livraison initialement prévue, pour accueillir les malades souffrant de la Covid-19, le bâtiment, renommé Reine en hommage à une cadre de l'AP-HP décédée de la maladie, a connu un dessein peu commun, digne d'être raconté.