Histoire et Archives de Djibouti et de sa région. Perspectives et enjeux

Par : Adawa Hassan Ali

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  • Nombre de pages156
  • PrésentationBroché
  • Poids0.185 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-343-08961-4
  • EAN9782343089614
  • Date de parution01/03/2016
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierJean-Dominique Pénel

Résumé

En avril 2011, le Docteur Adawa Hassan Ali a organisé à Djibouti un colloque réunissant des spécialistes d'histoire de la Corne de l'Afrique, venus d'Ethiopie, du Yémen et de France, pour réfléchir avec leurs collègues djiboutiens sur le problème urgent de la conservation du patrimoine. En effet, à Djibouti, il n'existe pas encore d'Archives nationales ni de Bibliothèque nationale ni de dépôt légal.
On voit disparaître dans les familles, dans les établissements privés et dans les institutions publiques toutes sortes de documents écrits, d'objets anciens et de constructions, témoins du passé. On en dira autant de la mémoire orale, si cruciale, pour des sociétés dont l'ancrage reste profondément lié à l'oralité : on fait peu ou pas de cas de ceux qui peuvent déployer les richesses orales du pays.
Délaissant l'oralité et ne tenant pas compte des archives écrites, on déambule vers un état d'amnésie collective. D'où le cri d'alerte !
En avril 2011, le Docteur Adawa Hassan Ali a organisé à Djibouti un colloque réunissant des spécialistes d'histoire de la Corne de l'Afrique, venus d'Ethiopie, du Yémen et de France, pour réfléchir avec leurs collègues djiboutiens sur le problème urgent de la conservation du patrimoine. En effet, à Djibouti, il n'existe pas encore d'Archives nationales ni de Bibliothèque nationale ni de dépôt légal.
On voit disparaître dans les familles, dans les établissements privés et dans les institutions publiques toutes sortes de documents écrits, d'objets anciens et de constructions, témoins du passé. On en dira autant de la mémoire orale, si cruciale, pour des sociétés dont l'ancrage reste profondément lié à l'oralité : on fait peu ou pas de cas de ceux qui peuvent déployer les richesses orales du pays.
Délaissant l'oralité et ne tenant pas compte des archives écrites, on déambule vers un état d'amnésie collective. D'où le cri d'alerte !