Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Cette histoire des revenants se veut complète, tant sur le plan historique qu'analytique. Après un bref regard sur la préhistoire et les sociétés...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
Cette histoire des revenants se veut complète, tant sur le plan historique qu'analytique. Après un bref regard sur la préhistoire et les sociétés primitives, ce premier volume englobe toutes les civilisations de l'Antiquité, aussi bien orientales qu'occidentales, puis nous fait remonter du Moyen Age jusqu'à l'aube de l'époque moderne. La progression historique énumère les différentes interprétations qui se sont succédées au cours de l'histoire : celles de l'Antiquité, des Pères de l'Eglise, à l'hagiographie médiévale, des démonologues et, plus proches de nous, du spiritisme et de la parapsychologie. Chaque période de l'histoire ayant ses particularités spectrales, il convenait de s'attarder sur certaines d'entre elles. Ainsi la place faite aux revenants dans le monde médiéval, qui nous présente des saints et des mystiques, des " hommes à prodiges " dotés d'étonnantes facultés parapsychologiques. Enfin, l'auteur insiste particulièrement, en explorant les croyances propres aux régions de France, sur le folklore des revenants. Aussi retrouve-t-on les histoires des " belles " suicidées, des fantômes errants, d'enfants morts sans baptêmes, celles des femmes mortes en couches et des lavandières nocturnes. Contrairement à la coutume, ce récit présente une image sympathique du revenant. Le fantôme agressif et hideux que nous proposant les récits romanesques et le cinéma n'ayant, dans ce contexte aucune valeur historique.