Histoire de sainte Monique
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- Nombre de pages396
- PrésentationBroché
- Poids0.433 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,5 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-908758-25-2
- EAN9782908758252
- Date de parution30/11/2023
- ÉditeurSTE JEANNE DARC
Résumé
"Un historien protestant disait de la vieille France que c'était un royaume fait par des évêques. Hélas ! ni les évêques ni les prêtres ne referont la France moderne, si les mères chrétiennes ne viennent à leur aide. Dieu a confié aux mères le berceau de l'homme : le berceau, c'est-à-dire presque tout." "Et cependant, vingt-cinq années après, Augustin, examinant la conduite de sa mère dans cette circonstance critique, après avoir noté ses conseils, ses prières, ses larmes, sa vigilance, tout ce que nous venons de dire enfin, trouve qu'elle n'a pas encore assez fait pour sauver la conscience de son fils.
Il fallait couper, trancher, tout sacrifier, même ses études, même son avenir, plutôt que de le laisser s'engager dans une voie où allait périr son âme. " Abbé Emile Bougaud.
Il fallait couper, trancher, tout sacrifier, même ses études, même son avenir, plutôt que de le laisser s'engager dans une voie où allait périr son âme. " Abbé Emile Bougaud.
"Un historien protestant disait de la vieille France que c'était un royaume fait par des évêques. Hélas ! ni les évêques ni les prêtres ne referont la France moderne, si les mères chrétiennes ne viennent à leur aide. Dieu a confié aux mères le berceau de l'homme : le berceau, c'est-à-dire presque tout." "Et cependant, vingt-cinq années après, Augustin, examinant la conduite de sa mère dans cette circonstance critique, après avoir noté ses conseils, ses prières, ses larmes, sa vigilance, tout ce que nous venons de dire enfin, trouve qu'elle n'a pas encore assez fait pour sauver la conscience de son fils.
Il fallait couper, trancher, tout sacrifier, même ses études, même son avenir, plutôt que de le laisser s'engager dans une voie où allait périr son âme. " Abbé Emile Bougaud.
Il fallait couper, trancher, tout sacrifier, même ses études, même son avenir, plutôt que de le laisser s'engager dans une voie où allait périr son âme. " Abbé Emile Bougaud.
