Histoire de la séparation. Vie et mort du mouvement ouvrier

Par : Endnotes
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages264
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.295 kg
  • Dimensions13,2 cm × 20,7 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-9579500-4-1
  • EAN9782957950041
  • Date de parution26/01/2024
  • CollectionCollection V
  • ÉditeurSans soleil
  • PréfacierAaron Benanav
  • PréfacierJohn Clegg
  • TraducteurPablo Arnaud

Résumé

Pour les révolutionnaires des deux derniers siècles, l'accumulation du capital devait unifier la classe ouvrière sous la bannière du sujet révolutionnaire. Le mouvement ainsi né était appelé à renverser la société de classes et les clivages divisant les prolétaires. Mais le mouvement de la valeur a finalement triomphé, pour donner naissance à la société de la séparation. L'atomisation a pris le pas sur les puissances du rassemblement.
La civilisation du capital traverse aujourd'hui une crise sans fin, mais les forces capables de la défaire brillent par leur absence. Ces textes tirés de la revue Endnotes, réunis pour la première fois en français, dessinent la carte d'un présent ponctué de paysages désindustrialisés, de centres logistiques et de bidonvilles où s'entassent les populations rejetées aux marges de l'accumulation - autant de coordonnées nécessaires pour continuer à penser le dépassement du capitalisme : une fois encore, reprendre le chantier de l'hypothèse communiste.
Pour les révolutionnaires des deux derniers siècles, l'accumulation du capital devait unifier la classe ouvrière sous la bannière du sujet révolutionnaire. Le mouvement ainsi né était appelé à renverser la société de classes et les clivages divisant les prolétaires. Mais le mouvement de la valeur a finalement triomphé, pour donner naissance à la société de la séparation. L'atomisation a pris le pas sur les puissances du rassemblement.
La civilisation du capital traverse aujourd'hui une crise sans fin, mais les forces capables de la défaire brillent par leur absence. Ces textes tirés de la revue Endnotes, réunis pour la première fois en français, dessinent la carte d'un présent ponctué de paysages désindustrialisés, de centres logistiques et de bidonvilles où s'entassent les populations rejetées aux marges de l'accumulation - autant de coordonnées nécessaires pour continuer à penser le dépassement du capitalisme : une fois encore, reprendre le chantier de l'hypothèse communiste.