Histoire de la chevalerie
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- Nombre de pages380
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.4 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-0-9546357-4-9
- EAN9780954635749
- Date de parution01/05/2016
- CollectionLys de France
- ÉditeurAlcazar
Résumé
Fac-similé de l'édition de 1839, cette Histoire de la Chevalerie nous transporte au temps des châteaux-forts, des tournois et des veillées animées par les troubadours ; de Bayard, de Saintré, de Du Guesclin mais aussi du Gran Capitan Gonzalo de Cordoba, de l'Anglais Hue de Carvalai ; de l'Europe héroïque et courtoise... L'auteur a raison : Un chevalier n'était plus un Français, un Anglais, un Espagnol ou un Allemand ; il était un chevalier.
Sans doute eût-il pu élargir son champ et ajouter : un Sarrazin surgi de l'ombre des minarets, un Bushi venu du Soleil Levant. Elle constitue une excellente introduction à un monde qui nous apparaît comme enrobant une autre planète, tant il est vrai que les valeurs de la Chevalerie sont étrangères au nôtre ; aux rites et règlements de ces hommes de combat et de galanterie, à leur mode de vie, à leur éducation, de pair avec une description minutieuse de leur environnement, de leurs armes et équipements.
La chevalerie répand un charme magique qui séduit, intéresse et attache ; avec elle on oublie l'absence des arts et le sommeil des lettres ; on dirait que c'est un rayon de la civilisation qui perce et brille au milieu des ténèbres de la barbarie. Oublions donc et laissons-nous séduire, intéresser, attacher...
Sans doute eût-il pu élargir son champ et ajouter : un Sarrazin surgi de l'ombre des minarets, un Bushi venu du Soleil Levant. Elle constitue une excellente introduction à un monde qui nous apparaît comme enrobant une autre planète, tant il est vrai que les valeurs de la Chevalerie sont étrangères au nôtre ; aux rites et règlements de ces hommes de combat et de galanterie, à leur mode de vie, à leur éducation, de pair avec une description minutieuse de leur environnement, de leurs armes et équipements.
La chevalerie répand un charme magique qui séduit, intéresse et attache ; avec elle on oublie l'absence des arts et le sommeil des lettres ; on dirait que c'est un rayon de la civilisation qui perce et brille au milieu des ténèbres de la barbarie. Oublions donc et laissons-nous séduire, intéresser, attacher...
Fac-similé de l'édition de 1839, cette Histoire de la Chevalerie nous transporte au temps des châteaux-forts, des tournois et des veillées animées par les troubadours ; de Bayard, de Saintré, de Du Guesclin mais aussi du Gran Capitan Gonzalo de Cordoba, de l'Anglais Hue de Carvalai ; de l'Europe héroïque et courtoise... L'auteur a raison : Un chevalier n'était plus un Français, un Anglais, un Espagnol ou un Allemand ; il était un chevalier.
Sans doute eût-il pu élargir son champ et ajouter : un Sarrazin surgi de l'ombre des minarets, un Bushi venu du Soleil Levant. Elle constitue une excellente introduction à un monde qui nous apparaît comme enrobant une autre planète, tant il est vrai que les valeurs de la Chevalerie sont étrangères au nôtre ; aux rites et règlements de ces hommes de combat et de galanterie, à leur mode de vie, à leur éducation, de pair avec une description minutieuse de leur environnement, de leurs armes et équipements.
La chevalerie répand un charme magique qui séduit, intéresse et attache ; avec elle on oublie l'absence des arts et le sommeil des lettres ; on dirait que c'est un rayon de la civilisation qui perce et brille au milieu des ténèbres de la barbarie. Oublions donc et laissons-nous séduire, intéresser, attacher...
Sans doute eût-il pu élargir son champ et ajouter : un Sarrazin surgi de l'ombre des minarets, un Bushi venu du Soleil Levant. Elle constitue une excellente introduction à un monde qui nous apparaît comme enrobant une autre planète, tant il est vrai que les valeurs de la Chevalerie sont étrangères au nôtre ; aux rites et règlements de ces hommes de combat et de galanterie, à leur mode de vie, à leur éducation, de pair avec une description minutieuse de leur environnement, de leurs armes et équipements.
La chevalerie répand un charme magique qui séduit, intéresse et attache ; avec elle on oublie l'absence des arts et le sommeil des lettres ; on dirait que c'est un rayon de la civilisation qui perce et brille au milieu des ténèbres de la barbarie. Oublions donc et laissons-nous séduire, intéresser, attacher...