Histoire d'un sans abri. Pour une critique de la rue

Par : Antoine Courtecuisse

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  • Nombre de pages272
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.195 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-7492-6286-4
  • EAN9782749262864
  • Date de parution07/03/2019
  • CollectionTrames
  • ÉditeurErès
  • PréfacierOlivier Jan

Résumé

Ce livre est un récit à propos d'un homme vivant dans la rue. Au-delà de son quotidien et de la complexité de sa souffrance, l'histoire s'attarde sur la relation que Claude va tisser avec une travailleuse sociale, Christine, au sein d'un accueil de jour où il passe quotidiennement. La précarité reste souvent sans mot, sans lien, sans liaison. La loi du silence prédomine, en rapport à tous ces mots n'arrivant pas à signifier quoi que ce soit de l'ordre des capacités négatives, à savoir l'impuissance, l'incomplétude, l'inattendu, la résignation, l'embarras etc.
Le défi ici est de dire quelque chose d'une existence précaire. Dans ce récit où l'auteur se met autant dans la peau de Claude que dans les rôles et fonctions de la travailleuse sociale, il est question d'accueil, de rencontre, d'ouverture à l'autre trop souvent perçu comme étranger à notre nature. Le lecteur est amené à percevoir les difficultés à nouer une relation avec quelqu'un de précaire, qui, au-delà des difficultés financières, a du mal à établir des liens.
La partie romancée est complétée par des articles plus cliniques où l'auteur, responsable d'une équipe mobile psychiatrie/précarité, explique sa démarche et présente les différentes structures sociales impliquées dans le travail de rue.
Ce livre est un récit à propos d'un homme vivant dans la rue. Au-delà de son quotidien et de la complexité de sa souffrance, l'histoire s'attarde sur la relation que Claude va tisser avec une travailleuse sociale, Christine, au sein d'un accueil de jour où il passe quotidiennement. La précarité reste souvent sans mot, sans lien, sans liaison. La loi du silence prédomine, en rapport à tous ces mots n'arrivant pas à signifier quoi que ce soit de l'ordre des capacités négatives, à savoir l'impuissance, l'incomplétude, l'inattendu, la résignation, l'embarras etc.
Le défi ici est de dire quelque chose d'une existence précaire. Dans ce récit où l'auteur se met autant dans la peau de Claude que dans les rôles et fonctions de la travailleuse sociale, il est question d'accueil, de rencontre, d'ouverture à l'autre trop souvent perçu comme étranger à notre nature. Le lecteur est amené à percevoir les difficultés à nouer une relation avec quelqu'un de précaire, qui, au-delà des difficultés financières, a du mal à établir des liens.
La partie romancée est complétée par des articles plus cliniques où l'auteur, responsable d'une équipe mobile psychiatrie/précarité, explique sa démarche et présente les différentes structures sociales impliquées dans le travail de rue.
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