Hippothèses pour une alternative en médecine équine. Tome 1, Se nourrir, être nouri - Réflexions sur la diététique équine

Par : Eric Ancelet
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  • Nombre de pages220
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.265 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,0 cm × 1,9 cm
  • ISBN978-2-87211-215-9
  • EAN9782872112159
  • Date de parution12/11/2025
  • ÉditeurMedicatrix

Résumé

Nourrir son cheval aujourd'hui ? C'est apparemment très simple. Il existe de nombreux ouvrages élaborés scientifiquement, de multiples aliments "complets" prêts à l'emploi, qui prétendent garantir quantitativement la couverture de l'ensemble des besoins, sans risque de carence ou d'effets secondaires nuisibles Oui mais... Le "quantitatif" est-il le seul critère à prendre en compte en nutrition équine ? La diététique est-elle une science exacte ? La réponse est non.
Se nourrir est la pulsion la plus archaïque qui soit, un besoin fondamental pour lequel chaque espèce a élaboré des stratégies comportemen­tales complexes, en relation avec une morphologie, une anatomie et une physiologie très spécialisées, dans un environnement originel non anthropisé. Un ensemble peu susceptible d'être modifié en quelques millénaires de domestication ou quelques décennies d'alimentation industrielle.
Le cheval est un animal chez lequel marcher et mastiquer occupent au minimum les deux tiers du temps, afin de fournir en continu le substrat fibreux nécessaire à la vitalité et aux fonctions essentielles des microsymbiotes intestinaux. Se pourrait-il que les modes de vie sédentarisés et l'alimentation moderne soient aujourd'hui les facteurs prédisposant, favorisant, déclenchant, la plupart des pathologies les plus courantes ? C'est ce que ce livre et les suivants de la série Hippothèses tenteront d'éclairer.
Nourrir son cheval aujourd'hui ? C'est apparemment très simple. Il existe de nombreux ouvrages élaborés scientifiquement, de multiples aliments "complets" prêts à l'emploi, qui prétendent garantir quantitativement la couverture de l'ensemble des besoins, sans risque de carence ou d'effets secondaires nuisibles Oui mais... Le "quantitatif" est-il le seul critère à prendre en compte en nutrition équine ? La diététique est-elle une science exacte ? La réponse est non.
Se nourrir est la pulsion la plus archaïque qui soit, un besoin fondamental pour lequel chaque espèce a élaboré des stratégies comportemen­tales complexes, en relation avec une morphologie, une anatomie et une physiologie très spécialisées, dans un environnement originel non anthropisé. Un ensemble peu susceptible d'être modifié en quelques millénaires de domestication ou quelques décennies d'alimentation industrielle.
Le cheval est un animal chez lequel marcher et mastiquer occupent au minimum les deux tiers du temps, afin de fournir en continu le substrat fibreux nécessaire à la vitalité et aux fonctions essentielles des microsymbiotes intestinaux. Se pourrait-il que les modes de vie sédentarisés et l'alimentation moderne soient aujourd'hui les facteurs prédisposant, favorisant, déclenchant, la plupart des pathologies les plus courantes ? C'est ce que ce livre et les suivants de la série Hippothèses tenteront d'éclairer.