Hervé Youmbi, plasticien
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- Nombre de pages24
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.045 kg
- Dimensions12,0 cm × 17,0 cm × 0,2 cm
- ISBN978-2-35137-115-2
- EAN9782351371152
- Date de parution18/03/2011
- CollectionLes carnets de la création
- ÉditeurL'Oeil (Editions de)
Résumé
Hervé Youmbi (né en 1973) sait que se vouloir plasticien au 21e siècle, c'est se frotter aux marchés. Mais il ne nourrit pas la conviction qu'on peut battre la maison à son propre business. S'il a cru, plus jeune, que le salut pouvait passer par l'art, il est aujourd'hui dubitatif. Il y croit et n'y croit pas et de cela résulte une pratique engagée, ludique et ironique tout à la fois. Inquiète, aussi, et parfois violente.
Chez Youmbi, la violence de l'aliénation est thème clé. Où pourtant s'entrevoit un avenir doux-amer où enfin ceux que la colonie a tus auront leur nom à l'enseigne de ce qui en perdure. Où on ne crèvera plus pour un visa ou, du moins, on pourra espérer porter son nom propre, en lieu et place d'un matricule craché par un ordinateur en mal de bigbrotherisation.
Chez Youmbi, la violence de l'aliénation est thème clé. Où pourtant s'entrevoit un avenir doux-amer où enfin ceux que la colonie a tus auront leur nom à l'enseigne de ce qui en perdure. Où on ne crèvera plus pour un visa ou, du moins, on pourra espérer porter son nom propre, en lieu et place d'un matricule craché par un ordinateur en mal de bigbrotherisation.
Hervé Youmbi (né en 1973) sait que se vouloir plasticien au 21e siècle, c'est se frotter aux marchés. Mais il ne nourrit pas la conviction qu'on peut battre la maison à son propre business. S'il a cru, plus jeune, que le salut pouvait passer par l'art, il est aujourd'hui dubitatif. Il y croit et n'y croit pas et de cela résulte une pratique engagée, ludique et ironique tout à la fois. Inquiète, aussi, et parfois violente.
Chez Youmbi, la violence de l'aliénation est thème clé. Où pourtant s'entrevoit un avenir doux-amer où enfin ceux que la colonie a tus auront leur nom à l'enseigne de ce qui en perdure. Où on ne crèvera plus pour un visa ou, du moins, on pourra espérer porter son nom propre, en lieu et place d'un matricule craché par un ordinateur en mal de bigbrotherisation.
Chez Youmbi, la violence de l'aliénation est thème clé. Où pourtant s'entrevoit un avenir doux-amer où enfin ceux que la colonie a tus auront leur nom à l'enseigne de ce qui en perdure. Où on ne crèvera plus pour un visa ou, du moins, on pourra espérer porter son nom propre, en lieu et place d'un matricule craché par un ordinateur en mal de bigbrotherisation.