Herbes vivantes. Espace analytique et poésie

Par : Jacqueline Persini

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages140
  • PrésentationBroché
  • Poids0.206 kg
  • Dimensions1,4 cm × 2,2 cm × 0,1 cm
  • ISBN2-7384-3636-6
  • EAN9782738436368
  • Date de parution01/12/1996
  • CollectionPsychanalyse et Civilisations
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Elle veut dire sa pratique ordinaire : les ratages, les trouées, les petites taches de lumière. Le pari d'un partage. Elle veut dire sa pratique ordinaire avec des mots ordinaires. Elle a oublié la langue des analystes. Peut-être ne l'a-t-elle jamais apprise ? Les chemins buissonniers de ses rêves la conduisent à l'écriture des fragments de cure. Elle ne relate pas des "cas" mais des moments de rencontre avec Anna, Julien...
Ceux dont la maison n'est pas habitable ou détruite cherchent à supporter, à créer de nouvelles fondations. Ceux qui n'ont pas de maison apprennent à ressentir les émotions, à mettre des mots sur les choses. Parfois rester en vie est l'espoir ultime. Elle accompagne chacun dans les chemins qu'ils osent prendre, se sentent aptes à explorer. Parfois le vent donne vie aux feuilles que l'hiver avait figées.
Il les pousse, les déplace dans des danses colorées. Donner du jeu, du mouvement, de l'air. Chacun a son pas de course ou d'escargot, son souffle de fourmi ou de géant.
Elle veut dire sa pratique ordinaire : les ratages, les trouées, les petites taches de lumière. Le pari d'un partage. Elle veut dire sa pratique ordinaire avec des mots ordinaires. Elle a oublié la langue des analystes. Peut-être ne l'a-t-elle jamais apprise ? Les chemins buissonniers de ses rêves la conduisent à l'écriture des fragments de cure. Elle ne relate pas des "cas" mais des moments de rencontre avec Anna, Julien...
Ceux dont la maison n'est pas habitable ou détruite cherchent à supporter, à créer de nouvelles fondations. Ceux qui n'ont pas de maison apprennent à ressentir les émotions, à mettre des mots sur les choses. Parfois rester en vie est l'espoir ultime. Elle accompagne chacun dans les chemins qu'ils osent prendre, se sentent aptes à explorer. Parfois le vent donne vie aux feuilles que l'hiver avait figées.
Il les pousse, les déplace dans des danses colorées. Donner du jeu, du mouvement, de l'air. Chacun a son pas de course ou d'escargot, son souffle de fourmi ou de géant.
Le Parc de Santeuil
Christian Duval
E-book
24,99 €
Maisons-poèmes
Jacqueline Persini, Luce Guilbaud
Poche
14,00 €