Dans l'oeuvre de Henri Michaux, le corps perd son unité, apparaissant comme souffrant, morcelé ou évanescent, étant traversé par le langage qui y engendre une disharmonie fondamentale. La création permet de constituer un nouveau corps dans un lien vivifiant avec le langage.
Dans l'oeuvre de Henri Michaux, le corps perd son unité, apparaissant comme souffrant, morcelé ou évanescent, étant traversé par le langage qui y engendre une disharmonie fondamentale. La création permet de constituer un nouveau corps dans un lien vivifiant avec le langage.