De la brillante carrière du général Giraud, les Caladois ont surtout retenu la date du 3 septembre 1944. Et pour cause. Ce jour là, le capitaine Giraud, à la tête de son détachement et grâce au soutien des FFI, a libéré la ville de l'occupation allemande. Cette personnalité ne pouvait donc pas échapper à Sébastien Parra, passionné d'histoire militaire et auteur de plusieurs ouvrages sur les généraux de notre région.
Il nous fait le portrait d'un homme d'action, doublé d'un talentueux meneur d'hommes. Officier de cavalerie, engagé dans la bataille de France en mai juin 1940, Giraud est fait prisonnier au terme d'une éprouvante retraite. Il s'évade deux jours plus tard et rejoint la zone libre avant de passer en Algérie où il se trouve lors du débarquement allié, en novembre 1942. Reprenant la lutte, il combat d'abord en Tunisie avant de gagner le sol natal pour participer à la libération du Pays et, comme on l'a vu, à celle de la capitale du Beaujolais.
Il s'illustre ensuite lors de l'attaque d'un train blindé en Saône-et-Loire et fait face lors de la brutale contre-offensive allemande qui se produit en Alsace durant l'hiver 1944-1945. Le lieutenant-colonel Giraud est plus tard affecté en Algérie où il commande deux régiments de cavalerie. Après 36 ans de carrière, il quitte le service avec le grade de général de brigade. Commandeur de la Légion d'honneur, titulaire de huit citations à l'ordre de l'Armée, il est décoré de la Croix de Guerre 1939-1945, de la Croix de la Valeur militaire et de la médaille des évadés.
Henri Giraud est également Citoyen d'honneur de Villefranche-sur-Saône.
De la brillante carrière du général Giraud, les Caladois ont surtout retenu la date du 3 septembre 1944. Et pour cause. Ce jour là, le capitaine Giraud, à la tête de son détachement et grâce au soutien des FFI, a libéré la ville de l'occupation allemande. Cette personnalité ne pouvait donc pas échapper à Sébastien Parra, passionné d'histoire militaire et auteur de plusieurs ouvrages sur les généraux de notre région.
Il nous fait le portrait d'un homme d'action, doublé d'un talentueux meneur d'hommes. Officier de cavalerie, engagé dans la bataille de France en mai juin 1940, Giraud est fait prisonnier au terme d'une éprouvante retraite. Il s'évade deux jours plus tard et rejoint la zone libre avant de passer en Algérie où il se trouve lors du débarquement allié, en novembre 1942. Reprenant la lutte, il combat d'abord en Tunisie avant de gagner le sol natal pour participer à la libération du Pays et, comme on l'a vu, à celle de la capitale du Beaujolais.
Il s'illustre ensuite lors de l'attaque d'un train blindé en Saône-et-Loire et fait face lors de la brutale contre-offensive allemande qui se produit en Alsace durant l'hiver 1944-1945. Le lieutenant-colonel Giraud est plus tard affecté en Algérie où il commande deux régiments de cavalerie. Après 36 ans de carrière, il quitte le service avec le grade de général de brigade. Commandeur de la Légion d'honneur, titulaire de huit citations à l'ordre de l'Armée, il est décoré de la Croix de Guerre 1939-1945, de la Croix de la Valeur militaire et de la médaille des évadés.
Henri Giraud est également Citoyen d'honneur de Villefranche-sur-Saône.