Henri Bertin et les échanges de porcelaines entre la France et la Chine au 18e siècle
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- Nombre de pages166
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.256 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-8061-3907-8
- EAN9782806139078
- Date de parution06/07/2025
- CollectionRencontres Orient-Occident
- ÉditeurAcademia (Editions)
Résumé
Cet ouvrage rassemble plusieurs communications présentées en France et à Taïwan, consacrées aux échanges de porcelaines entre la Chine et la France au XVIII ? siècle. Il explore l'émergence du goût pour la chinoiserie néoclassique et le rôle central du cabinet chinois de Henri Bertin (1720-1792) dans sa diffusion. Deux pièces issues de ce cabinet sont analysées : un portrait de l'empereur Kienlong peint par le frère Panzi, artiste jésuite à la cour impériale, qui inspira une plaque en céramique et des biscuits à la manufacture de Sèvres ; puis un plateau à thé fondé sur les tableaux impériaux de labourage et tissage, transformé par Louis-François Lécot en une scène à narration européenne, utilisant pâte dure et dorures.
Ces objets incarnent un dialogue artistique et politique entre les deux cours. En retour, des porcelaines de Sèvres furent envoyées en Chine, où l'empereur Kienlong fit créer un atelier chargé d'imiter les styles européens.
Ces objets incarnent un dialogue artistique et politique entre les deux cours. En retour, des porcelaines de Sèvres furent envoyées en Chine, où l'empereur Kienlong fit créer un atelier chargé d'imiter les styles européens.
Cet ouvrage rassemble plusieurs communications présentées en France et à Taïwan, consacrées aux échanges de porcelaines entre la Chine et la France au XVIII ? siècle. Il explore l'émergence du goût pour la chinoiserie néoclassique et le rôle central du cabinet chinois de Henri Bertin (1720-1792) dans sa diffusion. Deux pièces issues de ce cabinet sont analysées : un portrait de l'empereur Kienlong peint par le frère Panzi, artiste jésuite à la cour impériale, qui inspira une plaque en céramique et des biscuits à la manufacture de Sèvres ; puis un plateau à thé fondé sur les tableaux impériaux de labourage et tissage, transformé par Louis-François Lécot en une scène à narration européenne, utilisant pâte dure et dorures.
Ces objets incarnent un dialogue artistique et politique entre les deux cours. En retour, des porcelaines de Sèvres furent envoyées en Chine, où l'empereur Kienlong fit créer un atelier chargé d'imiter les styles européens.
Ces objets incarnent un dialogue artistique et politique entre les deux cours. En retour, des porcelaines de Sèvres furent envoyées en Chine, où l'empereur Kienlong fit créer un atelier chargé d'imiter les styles européens.