Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
C'est de la vocation prétendument totalitaire de la pensée hégélienne que s'autorise le discrédit porté à son endroit par tout un pan de la contemporanéité....
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Résumé
C'est de la vocation prétendument totalitaire de la pensée hégélienne que s'autorise le discrédit porté à son endroit par tout un pan de la contemporanéité. La dialectique ne s'ouvrirait à la différence qu'en apparence, ou captieusement, pour mieux la ramener dans les filets d'une omnipotente identité. Ce volume voudrait mettre en avant la thèse inverse. C'est la différenciation de la dialectique qu'on a choisi d'explorer, en donnant libre champ à quelques-unes des manières fort diverses de parler de Hegel aujourd'hui : structuraliste, lacanienne, esthétique, existentialiste, anthropologique, judaïque...Au lecteur d'en décider, si au fil des ces variations, se dégage un sens un ; et dans l'affirmative, s'il peut être considéré comme totalitaire ou s'il est indissociable de la multiplicité où il s'exprime. Cette indissociabilité inviterait à ne plus parler de variations sur la dialectique, mais à dire plutôt que la dialectique n'est rien d'autre que variations. Et à reconnaître que si aucune des perspectives évoquées ne semblent " forcer " la pensée hégélienne, c'est par une vertu qui lui est propre : la plasticité.