Heffilia, la putain des morts - et autres monstruosités
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- Nombre de pages208
- PrésentationBroché
- Poids0.18 kg
- Dimensions14,0 cm × 16,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-916753-67-6
- EAN9782916753676
- Date de parution01/10/2020
- CollectionNOUVELLES NOIRE
- ÉditeurBLACK OUT
Résumé
Sont rassemblés ici des textes d'une homogénéité qui évoque des écrivains d'autrefois, ceux qui fréquentaient les bouges et les tavernes des ports. Escales incertaines, mosaïques de personnages fantomatiques, de filles vénales, l'ombre pathétique de plumitifs, aventuriers de comptoirs et de ruelles crasseuses, qui surent mettre en scène quelques situations d'une existence précaire. A ses dires, l'auteur imagina ces nouvelles en une chambre d'un ancien hôtel montmartrois, où vécurent jadis des auteurs à la jeunesse tumultueuse, dont Jacques Prévert.
Des volutes de tabac gris imprégnées dans les murs retinrent-elles les mots et les souvenirs perdus de quelques marins de passage ? Les autres textes, plus classiques, évoquent, eux, des fantasmes attrapés au gré de nocturnes déambulations en sa banlieue natale, celle de sa véritable naissance. Rues magiques et autres figures ectoplasmiques. Vient ensuite se superposer une province d'après-guerre, mais laquelle ? Conjugaison fallacieuse avec un monde des adultes toujours hostile à l'enfance, aux êtres vulnérables.
La démence n'est jamais éloignée et les couleurs de l'étrange se mêlent en une palette absurde et salvatrice.
Des volutes de tabac gris imprégnées dans les murs retinrent-elles les mots et les souvenirs perdus de quelques marins de passage ? Les autres textes, plus classiques, évoquent, eux, des fantasmes attrapés au gré de nocturnes déambulations en sa banlieue natale, celle de sa véritable naissance. Rues magiques et autres figures ectoplasmiques. Vient ensuite se superposer une province d'après-guerre, mais laquelle ? Conjugaison fallacieuse avec un monde des adultes toujours hostile à l'enfance, aux êtres vulnérables.
La démence n'est jamais éloignée et les couleurs de l'étrange se mêlent en une palette absurde et salvatrice.
Sont rassemblés ici des textes d'une homogénéité qui évoque des écrivains d'autrefois, ceux qui fréquentaient les bouges et les tavernes des ports. Escales incertaines, mosaïques de personnages fantomatiques, de filles vénales, l'ombre pathétique de plumitifs, aventuriers de comptoirs et de ruelles crasseuses, qui surent mettre en scène quelques situations d'une existence précaire. A ses dires, l'auteur imagina ces nouvelles en une chambre d'un ancien hôtel montmartrois, où vécurent jadis des auteurs à la jeunesse tumultueuse, dont Jacques Prévert.
Des volutes de tabac gris imprégnées dans les murs retinrent-elles les mots et les souvenirs perdus de quelques marins de passage ? Les autres textes, plus classiques, évoquent, eux, des fantasmes attrapés au gré de nocturnes déambulations en sa banlieue natale, celle de sa véritable naissance. Rues magiques et autres figures ectoplasmiques. Vient ensuite se superposer une province d'après-guerre, mais laquelle ? Conjugaison fallacieuse avec un monde des adultes toujours hostile à l'enfance, aux êtres vulnérables.
La démence n'est jamais éloignée et les couleurs de l'étrange se mêlent en une palette absurde et salvatrice.
Des volutes de tabac gris imprégnées dans les murs retinrent-elles les mots et les souvenirs perdus de quelques marins de passage ? Les autres textes, plus classiques, évoquent, eux, des fantasmes attrapés au gré de nocturnes déambulations en sa banlieue natale, celle de sa véritable naissance. Rues magiques et autres figures ectoplasmiques. Vient ensuite se superposer une province d'après-guerre, mais laquelle ? Conjugaison fallacieuse avec un monde des adultes toujours hostile à l'enfance, aux êtres vulnérables.
La démence n'est jamais éloignée et les couleurs de l'étrange se mêlent en une palette absurde et salvatrice.