Où est passé notre état second, notre vertige effrayé de chasseurs de mammouths shootés à l'ergot de seigle ? Où est passée notre peur des fauves, et le courage, et la folie de leur tenir tête ? Sûr que nous avons encore des gènes de tueurs, de tueurs cannibales, des gènes de peur et des gènes sans peur... Il est question ici d'une certaine monstruosité quant à nos héritages... des villes et des campagnes...
du temps qui passe et qui revient... C'est une pièce "d'apprentissage" comme on disait jadis de certains romans.
Où est passé notre état second, notre vertige effrayé de chasseurs de mammouths shootés à l'ergot de seigle ? Où est passée notre peur des fauves, et le courage, et la folie de leur tenir tête ? Sûr que nous avons encore des gènes de tueurs, de tueurs cannibales, des gènes de peur et des gènes sans peur... Il est question ici d'une certaine monstruosité quant à nos héritages... des villes et des campagnes...
du temps qui passe et qui revient... C'est une pièce "d'apprentissage" comme on disait jadis de certains romans.