Hécatombe. Pensées éparses pour un monde en miettes
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Nombre de pages170
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.185 kg
- Dimensions12,1 cm × 19,0 cm × 1,4 cm
- ISBN978-2-491446-58-1
- EAN9782491446581
- Date de parution29/06/2021
- CollectionLa peau sur la table
- ÉditeurLa Nouvelle Librairie
- PréfacierDavid L'Epée
- Illustrateur Gallic
Résumé
"On croyait chevaucher le tigre, on se fait piétiner par un pangolin." Ce qu'il y a de bien avec Xavier Eman, c'est qu'il ne s'embarrasse jamais d'un humanisme encombrant : l'homme, sa pompe, sa majuscule. Vu à travers les réseaux sociaux, ce dernier ressemble plus à un petit mammifère accablé de misères qu'à un grand prédateur. L'auteur d'Hécatombe, recueil de pensées, le passe au broyeur de sa critique - noire, caustique, hilarante, taillée dans la bêtise.
Il en devient étonnamment plus humain. Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère, te voici accroché au fronton d'un Panthéon renversé. Aux hommes malheureux, le satiriste reconnaissant !
Il en devient étonnamment plus humain. Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère, te voici accroché au fronton d'un Panthéon renversé. Aux hommes malheureux, le satiriste reconnaissant !
"On croyait chevaucher le tigre, on se fait piétiner par un pangolin." Ce qu'il y a de bien avec Xavier Eman, c'est qu'il ne s'embarrasse jamais d'un humanisme encombrant : l'homme, sa pompe, sa majuscule. Vu à travers les réseaux sociaux, ce dernier ressemble plus à un petit mammifère accablé de misères qu'à un grand prédateur. L'auteur d'Hécatombe, recueil de pensées, le passe au broyeur de sa critique - noire, caustique, hilarante, taillée dans la bêtise.
Il en devient étonnamment plus humain. Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère, te voici accroché au fronton d'un Panthéon renversé. Aux hommes malheureux, le satiriste reconnaissant !
Il en devient étonnamment plus humain. Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère, te voici accroché au fronton d'un Panthéon renversé. Aux hommes malheureux, le satiriste reconnaissant !