Hébergement d'urgence et animation psychosociale. Le Racard ou renouer avec la vie
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages282
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.375 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,2 cm
- ISBN2-7384-5483-6
- EAN9782738454836
- Date de parution01/09/1997
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierMichel Porret
- PostfacierPierre Dominicé
Résumé
Depuis quinze ans, le Racard, centre d'hébergement d'urgence et lieu de vie à Genève, accueille toute femme ou tout homme en difficulté sociale ou psychologique, pour un séjour de courte ou moyenne durée. Appartement convivial à huit lits, où cohabitent des toxicomanes, des personnes psychiatrisées, des jeunes suicidaires ou des individus souffrant de solitude, le Racard donne sens et forme à une culture institutionnelle humaniste qui reconstruit le lien avec la vie pour celles et ceux qui en sont exclus.
L'éthique institutionnelle du Racard apparaît ici comme une culture du métissage que permet l'alliance intellectuelle avec les autres sciences humaines, mais aussi avec des pratiques artistiques ou poétiques qui constituent la singularité même de ce centre d'hébergement. Parfois sceptique face à la médicalisation grandissante du champ social, Miguel D. Norambuena montre que la pratique de résidence mise en oeuvre au Racard incarne un travail psychosocial qui place l'individu et ses contradictions au coeur de tout projet thérapeutique.
Il nous rappelle en fait ce qu'une société moderne doit valoriser contre la violence et la précarité afin que les plus démunis puissent renouer avec leur dignité morale et sociale.
L'éthique institutionnelle du Racard apparaît ici comme une culture du métissage que permet l'alliance intellectuelle avec les autres sciences humaines, mais aussi avec des pratiques artistiques ou poétiques qui constituent la singularité même de ce centre d'hébergement. Parfois sceptique face à la médicalisation grandissante du champ social, Miguel D. Norambuena montre que la pratique de résidence mise en oeuvre au Racard incarne un travail psychosocial qui place l'individu et ses contradictions au coeur de tout projet thérapeutique.
Il nous rappelle en fait ce qu'une société moderne doit valoriser contre la violence et la précarité afin que les plus démunis puissent renouer avec leur dignité morale et sociale.
Depuis quinze ans, le Racard, centre d'hébergement d'urgence et lieu de vie à Genève, accueille toute femme ou tout homme en difficulté sociale ou psychologique, pour un séjour de courte ou moyenne durée. Appartement convivial à huit lits, où cohabitent des toxicomanes, des personnes psychiatrisées, des jeunes suicidaires ou des individus souffrant de solitude, le Racard donne sens et forme à une culture institutionnelle humaniste qui reconstruit le lien avec la vie pour celles et ceux qui en sont exclus.
L'éthique institutionnelle du Racard apparaît ici comme une culture du métissage que permet l'alliance intellectuelle avec les autres sciences humaines, mais aussi avec des pratiques artistiques ou poétiques qui constituent la singularité même de ce centre d'hébergement. Parfois sceptique face à la médicalisation grandissante du champ social, Miguel D. Norambuena montre que la pratique de résidence mise en oeuvre au Racard incarne un travail psychosocial qui place l'individu et ses contradictions au coeur de tout projet thérapeutique.
Il nous rappelle en fait ce qu'une société moderne doit valoriser contre la violence et la précarité afin que les plus démunis puissent renouer avec leur dignité morale et sociale.
L'éthique institutionnelle du Racard apparaît ici comme une culture du métissage que permet l'alliance intellectuelle avec les autres sciences humaines, mais aussi avec des pratiques artistiques ou poétiques qui constituent la singularité même de ce centre d'hébergement. Parfois sceptique face à la médicalisation grandissante du champ social, Miguel D. Norambuena montre que la pratique de résidence mise en oeuvre au Racard incarne un travail psychosocial qui place l'individu et ses contradictions au coeur de tout projet thérapeutique.
Il nous rappelle en fait ce qu'une société moderne doit valoriser contre la violence et la précarité afin que les plus démunis puissent renouer avec leur dignité morale et sociale.