Hayao Miyazaki. Au gré du vent
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- Nombre de pages96
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.156 kg
- Dimensions15,5 cm × 21,5 cm × 0,8 cm
- ISBN979-10-97309-15-2
- EAN9791097309152
- Date de parution22/11/2018
- CollectionDébords
- ÉditeurRouge profond
Résumé
Au cours des trente dernières années, Hayao Miyazaki aura progressivement donné à l'animation japonaise un retentissement mondial, autant par ses propres oeuvres (Porco Rosso, Mon voisin Totoro, Princesse Mononoké, Le Voyage de Chihiro...) qu'à la tête du studio Ghibli, qu'il aura contribué à fonder, fort aujourd'hui d'une réputation incontournable. C'est au gré du vent, qui parcourt son oeuvre depuis son premier film (Nausicaa de la vallée du vent) jusqu'au dernier en date (Le vent se lève), que ce livre a choisi de vagabonder parmi les thèmes du cinéaste, attentif surtout à ce qui fait l'intensité de ses personnages, les figures féminines surtout.
Toujours soucieux de commenter le réel par le biais du merveilleux le plus débridé, Miyazaki n'a cessé en quelque sorte de l'augmenter, programme qui devrait être celui de toute oeuvre d'art.
Toujours soucieux de commenter le réel par le biais du merveilleux le plus débridé, Miyazaki n'a cessé en quelque sorte de l'augmenter, programme qui devrait être celui de toute oeuvre d'art.
Au cours des trente dernières années, Hayao Miyazaki aura progressivement donné à l'animation japonaise un retentissement mondial, autant par ses propres oeuvres (Porco Rosso, Mon voisin Totoro, Princesse Mononoké, Le Voyage de Chihiro...) qu'à la tête du studio Ghibli, qu'il aura contribué à fonder, fort aujourd'hui d'une réputation incontournable. C'est au gré du vent, qui parcourt son oeuvre depuis son premier film (Nausicaa de la vallée du vent) jusqu'au dernier en date (Le vent se lève), que ce livre a choisi de vagabonder parmi les thèmes du cinéaste, attentif surtout à ce qui fait l'intensité de ses personnages, les figures féminines surtout.
Toujours soucieux de commenter le réel par le biais du merveilleux le plus débridé, Miyazaki n'a cessé en quelque sorte de l'augmenter, programme qui devrait être celui de toute oeuvre d'art.
Toujours soucieux de commenter le réel par le biais du merveilleux le plus débridé, Miyazaki n'a cessé en quelque sorte de l'augmenter, programme qui devrait être celui de toute oeuvre d'art.