90 ans d'Amour
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Havas. Maison fondée en 1835
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- Nombre de pages333
- PrésentationBroché
- Poids2.165 kg
- Dimensions23,7 cm × 31,0 cm × 2,9 cm
- ISBN978-2-84230-541-3
- EAN9782842305413
- Date de parution18/11/2015
- ÉditeurHoëbeke
Résumé
180 ans ! Rythmée de coups d’éclat et de coups de Jarnac, l’aventure d’Havas est véritablement hors du commun : à la source de l’épopée de la diffusion de l’information et de la publicité. Le concept d’agence d’information internationale, la fonction de correspondant de guerre, l’association pernicieuse de la vente d’informations aux journaux et la gestion de leur publicité : Charles Havas (1873-1858) a tout inventé en matière de communication au point de régner sans partage sur l’ensemble de la presse française.
Information et manne publicitaire tant de pouvoirs créent un empire décrié, souvent à juste titre. «Le public peut croire qu’il existe plusieurs journaux, mais il n’y a, en définitif, qu’un seul journal celui de M Havas», écrit Balzac en 1840. 1940 : l’histoire d’Havas croise la grande histoire. Dès août, plusieurs de ses collaborateurs sont à Londres aux côtés du général de Gaulle. Objectif : organiser une structure d’information libre.
Sur la BBC, ce sont eux qui animeront l’émission mythique «Les Français parlent aux Français». Et la saga continue : l’essor de l’agence nationalisée en 1945, privatisée en 1987 accompagne le passage de la réclame à la publicité. Après avoir contribué aux heures de gloire de l’affiche, au développement de la pub radiophonique et cinématographique, elle participe aux premiers pas de la publicité télévisée, puis à l’avènement de l’ère de la communication sur fond de mondialisation des marchés et de révolution de l’Internet.
L’internationalisation d’Havas se déploie alors sur les cinq continents. Jacques Séguéla brosse les portraits des bâtisseurs de l’entreprise, explore son histoire et les créations publicitaires d’une galaxie regroupant aujourd’hui plusieurs centaines d’agences. Rien qu’en France, avant la fusion avec RSCG (1991), on en dénombre plus de soixante dont Havas Conseil, Ecom, Alice, Bélier... Rassemblée ici pour la première fois, la production de ces nombreuses enseignes ranime tout un pan de notre histoire publicitaire : des slogans qui font partie du patrimoine : Moulinex libère la femme, Fraîcheur de vivre Hollywood chewing-gum, Orangina, secouez-moi, Saint-Yorre, mon foie connais pas-, des héros gravés dans les mémoires-la mère Denis, Don Patillo, le père Ducros et des campagnes mythiques pour Elf, Club Med, Citroën, Darty, Evian, Air France...
Acteur des derniers chapitres en date de l’épopée, Jacques Séguéla introduit le lecteur dans les arcanes de la création de Canal Plus par André Rousselet (PDG d’Havas de 1982 à 1986). Il l’invite aux tractations présidant aux stratégies de développement, aux face-à-face des conseils d’administration, aux délibérations des assemblées générales d’actionnaires, «ces jeux du cirque des sociétés cotées en Bourse».
Tendre, critique ou tranchante, la verve du fils de pub trouve les mots justes pour conter le panache de certains, la lâcheté des uns ou la mégalomanie des autres, les jours de gloire et les heures noires : la destinée épique d’une maison fondée en 1835 dans trois pièces d’un modeste hôtel parisien désormais l’un des premiers groupes mondiaux de communication.
Information et manne publicitaire tant de pouvoirs créent un empire décrié, souvent à juste titre. «Le public peut croire qu’il existe plusieurs journaux, mais il n’y a, en définitif, qu’un seul journal celui de M Havas», écrit Balzac en 1840. 1940 : l’histoire d’Havas croise la grande histoire. Dès août, plusieurs de ses collaborateurs sont à Londres aux côtés du général de Gaulle. Objectif : organiser une structure d’information libre.
Sur la BBC, ce sont eux qui animeront l’émission mythique «Les Français parlent aux Français». Et la saga continue : l’essor de l’agence nationalisée en 1945, privatisée en 1987 accompagne le passage de la réclame à la publicité. Après avoir contribué aux heures de gloire de l’affiche, au développement de la pub radiophonique et cinématographique, elle participe aux premiers pas de la publicité télévisée, puis à l’avènement de l’ère de la communication sur fond de mondialisation des marchés et de révolution de l’Internet.
L’internationalisation d’Havas se déploie alors sur les cinq continents. Jacques Séguéla brosse les portraits des bâtisseurs de l’entreprise, explore son histoire et les créations publicitaires d’une galaxie regroupant aujourd’hui plusieurs centaines d’agences. Rien qu’en France, avant la fusion avec RSCG (1991), on en dénombre plus de soixante dont Havas Conseil, Ecom, Alice, Bélier... Rassemblée ici pour la première fois, la production de ces nombreuses enseignes ranime tout un pan de notre histoire publicitaire : des slogans qui font partie du patrimoine : Moulinex libère la femme, Fraîcheur de vivre Hollywood chewing-gum, Orangina, secouez-moi, Saint-Yorre, mon foie connais pas-, des héros gravés dans les mémoires-la mère Denis, Don Patillo, le père Ducros et des campagnes mythiques pour Elf, Club Med, Citroën, Darty, Evian, Air France...
Acteur des derniers chapitres en date de l’épopée, Jacques Séguéla introduit le lecteur dans les arcanes de la création de Canal Plus par André Rousselet (PDG d’Havas de 1982 à 1986). Il l’invite aux tractations présidant aux stratégies de développement, aux face-à-face des conseils d’administration, aux délibérations des assemblées générales d’actionnaires, «ces jeux du cirque des sociétés cotées en Bourse».
Tendre, critique ou tranchante, la verve du fils de pub trouve les mots justes pour conter le panache de certains, la lâcheté des uns ou la mégalomanie des autres, les jours de gloire et les heures noires : la destinée épique d’une maison fondée en 1835 dans trois pièces d’un modeste hôtel parisien désormais l’un des premiers groupes mondiaux de communication.
180 ans ! Rythmée de coups d’éclat et de coups de Jarnac, l’aventure d’Havas est véritablement hors du commun : à la source de l’épopée de la diffusion de l’information et de la publicité. Le concept d’agence d’information internationale, la fonction de correspondant de guerre, l’association pernicieuse de la vente d’informations aux journaux et la gestion de leur publicité : Charles Havas (1873-1858) a tout inventé en matière de communication au point de régner sans partage sur l’ensemble de la presse française.
Information et manne publicitaire tant de pouvoirs créent un empire décrié, souvent à juste titre. «Le public peut croire qu’il existe plusieurs journaux, mais il n’y a, en définitif, qu’un seul journal celui de M Havas», écrit Balzac en 1840. 1940 : l’histoire d’Havas croise la grande histoire. Dès août, plusieurs de ses collaborateurs sont à Londres aux côtés du général de Gaulle. Objectif : organiser une structure d’information libre.
Sur la BBC, ce sont eux qui animeront l’émission mythique «Les Français parlent aux Français». Et la saga continue : l’essor de l’agence nationalisée en 1945, privatisée en 1987 accompagne le passage de la réclame à la publicité. Après avoir contribué aux heures de gloire de l’affiche, au développement de la pub radiophonique et cinématographique, elle participe aux premiers pas de la publicité télévisée, puis à l’avènement de l’ère de la communication sur fond de mondialisation des marchés et de révolution de l’Internet.
L’internationalisation d’Havas se déploie alors sur les cinq continents. Jacques Séguéla brosse les portraits des bâtisseurs de l’entreprise, explore son histoire et les créations publicitaires d’une galaxie regroupant aujourd’hui plusieurs centaines d’agences. Rien qu’en France, avant la fusion avec RSCG (1991), on en dénombre plus de soixante dont Havas Conseil, Ecom, Alice, Bélier... Rassemblée ici pour la première fois, la production de ces nombreuses enseignes ranime tout un pan de notre histoire publicitaire : des slogans qui font partie du patrimoine : Moulinex libère la femme, Fraîcheur de vivre Hollywood chewing-gum, Orangina, secouez-moi, Saint-Yorre, mon foie connais pas-, des héros gravés dans les mémoires-la mère Denis, Don Patillo, le père Ducros et des campagnes mythiques pour Elf, Club Med, Citroën, Darty, Evian, Air France...
Acteur des derniers chapitres en date de l’épopée, Jacques Séguéla introduit le lecteur dans les arcanes de la création de Canal Plus par André Rousselet (PDG d’Havas de 1982 à 1986). Il l’invite aux tractations présidant aux stratégies de développement, aux face-à-face des conseils d’administration, aux délibérations des assemblées générales d’actionnaires, «ces jeux du cirque des sociétés cotées en Bourse».
Tendre, critique ou tranchante, la verve du fils de pub trouve les mots justes pour conter le panache de certains, la lâcheté des uns ou la mégalomanie des autres, les jours de gloire et les heures noires : la destinée épique d’une maison fondée en 1835 dans trois pièces d’un modeste hôtel parisien désormais l’un des premiers groupes mondiaux de communication.
Information et manne publicitaire tant de pouvoirs créent un empire décrié, souvent à juste titre. «Le public peut croire qu’il existe plusieurs journaux, mais il n’y a, en définitif, qu’un seul journal celui de M Havas», écrit Balzac en 1840. 1940 : l’histoire d’Havas croise la grande histoire. Dès août, plusieurs de ses collaborateurs sont à Londres aux côtés du général de Gaulle. Objectif : organiser une structure d’information libre.
Sur la BBC, ce sont eux qui animeront l’émission mythique «Les Français parlent aux Français». Et la saga continue : l’essor de l’agence nationalisée en 1945, privatisée en 1987 accompagne le passage de la réclame à la publicité. Après avoir contribué aux heures de gloire de l’affiche, au développement de la pub radiophonique et cinématographique, elle participe aux premiers pas de la publicité télévisée, puis à l’avènement de l’ère de la communication sur fond de mondialisation des marchés et de révolution de l’Internet.
L’internationalisation d’Havas se déploie alors sur les cinq continents. Jacques Séguéla brosse les portraits des bâtisseurs de l’entreprise, explore son histoire et les créations publicitaires d’une galaxie regroupant aujourd’hui plusieurs centaines d’agences. Rien qu’en France, avant la fusion avec RSCG (1991), on en dénombre plus de soixante dont Havas Conseil, Ecom, Alice, Bélier... Rassemblée ici pour la première fois, la production de ces nombreuses enseignes ranime tout un pan de notre histoire publicitaire : des slogans qui font partie du patrimoine : Moulinex libère la femme, Fraîcheur de vivre Hollywood chewing-gum, Orangina, secouez-moi, Saint-Yorre, mon foie connais pas-, des héros gravés dans les mémoires-la mère Denis, Don Patillo, le père Ducros et des campagnes mythiques pour Elf, Club Med, Citroën, Darty, Evian, Air France...
Acteur des derniers chapitres en date de l’épopée, Jacques Séguéla introduit le lecteur dans les arcanes de la création de Canal Plus par André Rousselet (PDG d’Havas de 1982 à 1986). Il l’invite aux tractations présidant aux stratégies de développement, aux face-à-face des conseils d’administration, aux délibérations des assemblées générales d’actionnaires, «ces jeux du cirque des sociétés cotées en Bourse».
Tendre, critique ou tranchante, la verve du fils de pub trouve les mots justes pour conter le panache de certains, la lâcheté des uns ou la mégalomanie des autres, les jours de gloire et les heures noires : la destinée épique d’une maison fondée en 1835 dans trois pièces d’un modeste hôtel parisien désormais l’un des premiers groupes mondiaux de communication.
