Hasta siempre, Comandante et autres micronouvelles

Par : Pierre Morvilliers
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  • Nombre de pages190
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.228 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-336-51595-3
  • EAN9782336515953
  • Date de parution06/02/2025
  • CollectionNouvelles nouvelles
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Un recueil de nouvelles qui prend la forme d'un album de famille, une famille française qui traverse le vingtième siècle, des Années folles à l'aube de la sixième extinction en passant par les Trente Glorieuses ; avec ses lourds secrets et ses cadavres cachés dans le placard. Et c'est comme pour tenter d'échapper à son emprise que l'auteur, prenant le grand large, nous entraîne vers d'autres et grands espaces : l'Egypte, l'Afrique du Sud, l'Inde, Israël ou Cuba.
Nous découvrons chemin faisant bonheurs, drames et secrets, amour, adultère... La petite histoire se mêle à la grande dans des textes écrits souvent à la première personne, parfois plus distanciés, mais toujours avec "ce ton Morvilliers, fait d'ironie, de fragilité, d'attachement, le tout enrobé d'une certaine désinvolture qui se marie très bien avec la nervosité de son écriture" (Martine Delort, directrice de la revue Brèves).
Un recueil de nouvelles qui prend la forme d'un album de famille, une famille française qui traverse le vingtième siècle, des Années folles à l'aube de la sixième extinction en passant par les Trente Glorieuses ; avec ses lourds secrets et ses cadavres cachés dans le placard. Et c'est comme pour tenter d'échapper à son emprise que l'auteur, prenant le grand large, nous entraîne vers d'autres et grands espaces : l'Egypte, l'Afrique du Sud, l'Inde, Israël ou Cuba.
Nous découvrons chemin faisant bonheurs, drames et secrets, amour, adultère... La petite histoire se mêle à la grande dans des textes écrits souvent à la première personne, parfois plus distanciés, mais toujours avec "ce ton Morvilliers, fait d'ironie, de fragilité, d'attachement, le tout enrobé d'une certaine désinvolture qui se marie très bien avec la nervosité de son écriture" (Martine Delort, directrice de la revue Brèves).