Prix Fetkann ! de la Recherche
Haïti-France. Les chaînes de la dette. Le rapport Mackau (1825)
Par : , , ,Formats :
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
- Nombre de pages201
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.26 kg
- Dimensions14,1 cm × 20,8 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-37701-117-9
- EAN9782377011179
- Date de parution10/02/2022
- ÉditeurCoédition Hémisphères/Maisonneuv...
Résumé
Par une ordonnance du roi Charles X du 17 avril 1825, laFrance reconnaît l'indépendance de sa colonie de Saint-Domingue. Cettereconnaissance est soumise au paiement, par la république d'Haïti, d'une sommede 150 millions de francs-or destinée à indemniser les colons français qui ontperdu les propriétés qu'ils détenaient dans la colonie. En juillet 1825, accompagné d'une escadre, le baron de Mackau est chargé de remettre cetteordonnance au président d'Haïti, Jean-Pierre Boyer.
A son retour de mission, ilrédige un rapport : c'est ce document exceptionnel, largement inédit, qui est aucoeur de l'ouvrage. Cette publication apporte un éclairage depremière importance sur la "dette de l'indépendance" imposée à Haïti parl'ancienne métropole. Les chaînes qui l'accompagnent sont ici abordées dans unemise en perspective de longue durée, grâce à un appareil critique et auxarticles que signent les quatre coauteurs.
A son retour de mission, ilrédige un rapport : c'est ce document exceptionnel, largement inédit, qui est aucoeur de l'ouvrage. Cette publication apporte un éclairage depremière importance sur la "dette de l'indépendance" imposée à Haïti parl'ancienne métropole. Les chaînes qui l'accompagnent sont ici abordées dans unemise en perspective de longue durée, grâce à un appareil critique et auxarticles que signent les quatre coauteurs.
Par une ordonnance du roi Charles X du 17 avril 1825, laFrance reconnaît l'indépendance de sa colonie de Saint-Domingue. Cettereconnaissance est soumise au paiement, par la république d'Haïti, d'une sommede 150 millions de francs-or destinée à indemniser les colons français qui ontperdu les propriétés qu'ils détenaient dans la colonie. En juillet 1825, accompagné d'une escadre, le baron de Mackau est chargé de remettre cetteordonnance au président d'Haïti, Jean-Pierre Boyer.
A son retour de mission, ilrédige un rapport : c'est ce document exceptionnel, largement inédit, qui est aucoeur de l'ouvrage. Cette publication apporte un éclairage depremière importance sur la "dette de l'indépendance" imposée à Haïti parl'ancienne métropole. Les chaînes qui l'accompagnent sont ici abordées dans unemise en perspective de longue durée, grâce à un appareil critique et auxarticles que signent les quatre coauteurs.
A son retour de mission, ilrédige un rapport : c'est ce document exceptionnel, largement inédit, qui est aucoeur de l'ouvrage. Cette publication apporte un éclairage depremière importance sur la "dette de l'indépendance" imposée à Haïti parl'ancienne métropole. Les chaînes qui l'accompagnent sont ici abordées dans unemise en perspective de longue durée, grâce à un appareil critique et auxarticles que signent les quatre coauteurs.