Habiter le secret de ta Face. Elisabeth de la Trinité

Par : Roberto Formara
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  • Nombre de pages190
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.228 kg
  • Dimensions15,0 cm × 19,0 cm × 1,1 cm
  • ISBN978-2-84713-820-7
  • EAN9782847138207
  • Date de parution16/11/2022
  • CollectionVie intérieure
  • ÉditeurCarmel (Editions du)
  • TraducteurPauline de Cointet-de-Vanssay
  • TraducteurMonique Orfeuil

Résumé

Ô mon Dieu, Trinité que j'adore... Ô mon Dieu, Trinité que j'adore... Cette prière d'Elisabeth de la Trinité, canonisée en 2016, a fait le tour du monde. Synthèse et sommet de son expérience trinitaire, elle révèle la richesse de sa spiritualité, mûrie depuis sa vie dans le monde jusqu'au secret du cloître. L'auteur ne retrace pas ici la vie de la Sainte : il la laisse parler. En bibliste exercé, il nous révèle l'esprit contemplatif de la jeune carmélite à partir des méditations bibliques - notamment saint Paul - qui l'ont nourri.
Il explore la profondeur du langage, où s'exprime l'épouse amoureuse, mais aussi l'artiste sensible : les symboles fondamentaux de la maison, du foyer, de l'être habité se mêlent aux métaphores du visage, de la lumière, de la sponsalité et de la nuit. Cette prière adorante, "petit-chef d'oeuvre de la contemplation" , est une invitation à "habiter la maison de ce Dieu qui habite en nous, au centre de nous-mêmes" .
Ô mon Dieu, Trinité que j'adore... Ô mon Dieu, Trinité que j'adore... Cette prière d'Elisabeth de la Trinité, canonisée en 2016, a fait le tour du monde. Synthèse et sommet de son expérience trinitaire, elle révèle la richesse de sa spiritualité, mûrie depuis sa vie dans le monde jusqu'au secret du cloître. L'auteur ne retrace pas ici la vie de la Sainte : il la laisse parler. En bibliste exercé, il nous révèle l'esprit contemplatif de la jeune carmélite à partir des méditations bibliques - notamment saint Paul - qui l'ont nourri.
Il explore la profondeur du langage, où s'exprime l'épouse amoureuse, mais aussi l'artiste sensible : les symboles fondamentaux de la maison, du foyer, de l'être habité se mêlent aux métaphores du visage, de la lumière, de la sponsalité et de la nuit. Cette prière adorante, "petit-chef d'oeuvre de la contemplation" , est une invitation à "habiter la maison de ce Dieu qui habite en nous, au centre de nous-mêmes" .