Gunnm se situe dans un futur.
Un futur où le paradis, le cité blanche d'Ivoire de Zalem, trône en maître au dessus de nos têtes et où en bas se vit un enfer au quotidien, dans une décharge suintant l’acier ou, tel Icare, les cybernisés de la décharge se brûlent s'ils tentent d'approcher Zalem.
Dans ce futur, un beau jour, du haut de Zalem, tombe un ange, un parangon de vertu et de beauté. Son nom était Yoko, elle s'appellera désormais Gally.
Sur les conseils de son "père", Ido, elle tente malgré son amnésie, de découvrir qui elle est vraiment. Cet être de vertu et
de douceur, au visage de poupée, se trouve pourtant rapidement aspiré dans un maelström d'extrême violence, à mesure qu'elle tente de mener une vie paisible. Elle se rend compte d'une chose : c'est au cœur du combat et du dépassement de soi, qu'elle pourra espérer retrouver ses souvenirs perdus. Que ce soit au coeur des arènes d'un sport ultra violent nommé le Motorball où dans les plaines arides jouxtant la Décharge, préparez vous à être emporté dans un récit sous haute tension, à la recherche des souvenirs de Gally et dans sa quête d'un futur meilleur. Dans un enchaînement ininterrompu de combats, elle devra gravir les marches et protéger ceux qu'elle aime pour espérer trouver et comprendre la vérité.
Dans un style graphique précis et dynamique, Yukito Kishiro nous embarque dans un récit cyberpunk qui a rapidement su graver dans le marbre son importance majeure dans le genre. Si les scènes de Motorball sont dessinée d'une main de maître, alliant une sensation de vitesse et de dynamisme à outrance, l'auteur maîtrise tout autant les paysages en double page. L'alliance improbable entre arts martiaux, chi, armes de tout genre et corps cybernétique aux dimensions titanesques donne un cocktail détonnant dans Gunm.
Si de notre être, il ne reste plus que boulons, écrous et système informatique, sommes nous encore des êtres conscients ? Au fil du manga, on y découvre des êtres d'une laideur et d'une difformité indescriptible, qui semble prêts à être à 2 doigts d'exploser sous la charge de leurs modifications corporelles. Dans Gunm, la notion de cyberniser son être est poussé à son paroxysme. On va ici bien plus loin qu'un simple bras bionique ou un œil, mais jusqu'à changer l'entièreté de son corps pour dépasser des dimensions classiques ! Certains personnages ressemblent alors à des animaux quand certains ne sont alors plus que des éléments interchangeables dont on utilise les oreilles ou même le visage comme d'un baume pour faire fonctionner la grande roue du système.
Dans ce marasme d'acier donc, certaines réponses émergent et c'est à nous, lecteur, d'en interpréter le contenu.
Un classique du cyberpunk !
Gunnm se situe dans un futur.
Un futur où le paradis, le cité blanche d'Ivoire de Zalem, trône en maître au dessus de nos têtes et où en bas se vit un enfer au quotidien, dans une décharge suintant l’acier ou, tel Icare, les cybernisés de la décharge se brûlent s'ils tentent d'approcher Zalem.
Dans ce futur, un beau jour, du haut de Zalem, tombe un ange, un parangon de vertu et de beauté. Son nom était Yoko, elle s'appellera désormais Gally.
Sur les conseils de son "père", Ido, elle tente malgré son amnésie, de découvrir qui elle est vraiment. Cet être de vertu et de douceur, au visage de poupée, se trouve pourtant rapidement aspiré dans un maelström d'extrême violence, à mesure qu'elle tente de mener une vie paisible. Elle se rend compte d'une chose : c'est au cœur du combat et du dépassement de soi, qu'elle pourra espérer retrouver ses souvenirs perdus. Que ce soit au coeur des arènes d'un sport ultra violent nommé le Motorball où dans les plaines arides jouxtant la Décharge, préparez vous à être emporté dans un récit sous haute tension, à la recherche des souvenirs de Gally et dans sa quête d'un futur meilleur. Dans un enchaînement ininterrompu de combats, elle devra gravir les marches et protéger ceux qu'elle aime pour espérer trouver et comprendre la vérité.
Dans un style graphique précis et dynamique, Yukito Kishiro nous embarque dans un récit cyberpunk qui a rapidement su graver dans le marbre son importance majeure dans le genre. Si les scènes de Motorball sont dessinée d'une main de maître, alliant une sensation de vitesse et de dynamisme à outrance, l'auteur maîtrise tout autant les paysages en double page. L'alliance improbable entre arts martiaux, chi, armes de tout genre et corps cybernétique aux dimensions titanesques donne un cocktail détonnant dans Gunm.
Si de notre être, il ne reste plus que boulons, écrous et système informatique, sommes nous encore des êtres conscients ? Au fil du manga, on y découvre des êtres d'une laideur et d'une difformité indescriptible, qui semble prêts à être à 2 doigts d'exploser sous la charge de leurs modifications corporelles. Dans Gunm, la notion de cyberniser son être est poussé à son paroxysme. On va ici bien plus loin qu'un simple bras bionique ou un œil, mais jusqu'à changer l'entièreté de son corps pour dépasser des dimensions classiques ! Certains personnages ressemblent alors à des animaux quand certains ne sont alors plus que des éléments interchangeables dont on utilise les oreilles ou même le visage comme d'un baume pour faire fonctionner la grande roue du système.
Dans ce marasme d'acier donc, certaines réponses émergent et c'est à nous, lecteur, d'en interpréter le contenu.