Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Le 25 mai 1923, Pierre Quéméneur, négociant à Landerneau et conseiller général du Finistère, disparaît mystérieusement au cours d'un voyage qui...
Lire la suite
Le 25 mai 1923, Pierre Quéméneur, négociant à Landerneau et conseiller général du Finistère, disparaît mystérieusement au cours d'un voyage qui devait le conduire à Paris. Son cadavre ne sera jamais retrouvé, mais pourtant, son compagnon de voyage, Guillaume Seznec, est très vite inculpé de meurtre avec préméditation. Les soupçons, qui se sont portés immédiatement sur ce marchand de bois de Morlaix tout juste déclaré en faillite par le tribunal de commerce, sont confirmés par les nombreuses contradictions contenues dans ses tentatives d'explication de cette disparition soudaine. Le 3 novembre 1924, les jurés de Quimper jugent Guillaume Seznec coupable de meurtre non prémédité et le condamnent aux travaux forcés à perpétuité. Gracié en 1947, il revient en France où il rejoint sa famille déchirée par d'autres drames. L'absence de cadavre, les protestations d'innocence du bagnard, les déclarations troublantes et tardives de plusieurs témoins susciteront des controverses et des polémiques passionnées jusqu'à la fin de l'année 2006, qui a vu l'affaire Seznec passer en Cour de révision, sans succès.
Sommaire
" Ça ne te portera pas chance, Guillaume ! "
" L'affaire des Cadillac "
" La journée du 25 mai "
" La valise jaune "
" C'est ici que j'ai quitté Quéméneur "
Les témoins du 2 juillet
" Je ne suis jamais allé au Havre ! "
L'évasion
" J'ai rencontré Qéméneur "
Las assises de Quimper
" Puisse Dieu, après l'expiation, vous pardonner ! "