Guillaume du Bellay. L'ange gardien de François Ier
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- Nombre de pages432
- PrésentationBroché
- Poids0.555 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 2,7 cm
- ISBN978-2-86645-835-5
- EAN9782866458355
- Date de parution26/05/2016
- CollectionLes marches du temps
- ÉditeurFélin (Editions du)
Résumé
Le nom de Du Bellay est d'ordinaire associé aux poètes de la Pléiade : pourtant, Joachim du Bellay n'est pas le seul à avoir illustré ce nom. Avant lui, son grand cousin, Guillaume du Bellay, connu comme seigneur de Langey, a porté haut la gloire attachée à ce nom. Conseiller occulte de François Ier, Langey va avoir affaire à forte partie. D'abord, à l'ennemi principal du roi de France, l'empereur Charles Quint qui entendait étendre sa domination sur l'Europe entière.
Ensuite à l'allié stratégique qui permettait de contrer l'empereur, le Grand Seigneur, Soliman le Magnifique. Enfin, à des puissants aux intérêts divers et aux humeurs changeantes qu'il fallait ménager et séduire : Henri VIII d'Angleterre, les différents papes, les princes italiens et allemands et même Barberousse, le pirate d'Alger devenu amiral de la flotte ottomane. Pour se mouvoir avec habileté dans un complexe jeu d'alliances, où le double-jeu était la règle et faire face à des retournements incessants de situation, il fallait être expert en politique parallèle.
Reconstituer et restituer les initiatives, les manoeuvres, les intrigues et les ruses auxquelles se livra Guillaume du Bellay, bientôt soutenu par son frère, le cardinal Jean du Bellay, tous deux livrés aux soins attentifs de leur médecin, François Rabelais, tout ce qu'il lui fallut accomplir au nom de la Raison d'Etat, dans le contexte hautement conflictuel de la Renaissance finissante où l'Europe s'affirmait comme civilisation, telle est la raison d'être de cet ouvrage.
Ensuite à l'allié stratégique qui permettait de contrer l'empereur, le Grand Seigneur, Soliman le Magnifique. Enfin, à des puissants aux intérêts divers et aux humeurs changeantes qu'il fallait ménager et séduire : Henri VIII d'Angleterre, les différents papes, les princes italiens et allemands et même Barberousse, le pirate d'Alger devenu amiral de la flotte ottomane. Pour se mouvoir avec habileté dans un complexe jeu d'alliances, où le double-jeu était la règle et faire face à des retournements incessants de situation, il fallait être expert en politique parallèle.
Reconstituer et restituer les initiatives, les manoeuvres, les intrigues et les ruses auxquelles se livra Guillaume du Bellay, bientôt soutenu par son frère, le cardinal Jean du Bellay, tous deux livrés aux soins attentifs de leur médecin, François Rabelais, tout ce qu'il lui fallut accomplir au nom de la Raison d'Etat, dans le contexte hautement conflictuel de la Renaissance finissante où l'Europe s'affirmait comme civilisation, telle est la raison d'être de cet ouvrage.
Le nom de Du Bellay est d'ordinaire associé aux poètes de la Pléiade : pourtant, Joachim du Bellay n'est pas le seul à avoir illustré ce nom. Avant lui, son grand cousin, Guillaume du Bellay, connu comme seigneur de Langey, a porté haut la gloire attachée à ce nom. Conseiller occulte de François Ier, Langey va avoir affaire à forte partie. D'abord, à l'ennemi principal du roi de France, l'empereur Charles Quint qui entendait étendre sa domination sur l'Europe entière.
Ensuite à l'allié stratégique qui permettait de contrer l'empereur, le Grand Seigneur, Soliman le Magnifique. Enfin, à des puissants aux intérêts divers et aux humeurs changeantes qu'il fallait ménager et séduire : Henri VIII d'Angleterre, les différents papes, les princes italiens et allemands et même Barberousse, le pirate d'Alger devenu amiral de la flotte ottomane. Pour se mouvoir avec habileté dans un complexe jeu d'alliances, où le double-jeu était la règle et faire face à des retournements incessants de situation, il fallait être expert en politique parallèle.
Reconstituer et restituer les initiatives, les manoeuvres, les intrigues et les ruses auxquelles se livra Guillaume du Bellay, bientôt soutenu par son frère, le cardinal Jean du Bellay, tous deux livrés aux soins attentifs de leur médecin, François Rabelais, tout ce qu'il lui fallut accomplir au nom de la Raison d'Etat, dans le contexte hautement conflictuel de la Renaissance finissante où l'Europe s'affirmait comme civilisation, telle est la raison d'être de cet ouvrage.
Ensuite à l'allié stratégique qui permettait de contrer l'empereur, le Grand Seigneur, Soliman le Magnifique. Enfin, à des puissants aux intérêts divers et aux humeurs changeantes qu'il fallait ménager et séduire : Henri VIII d'Angleterre, les différents papes, les princes italiens et allemands et même Barberousse, le pirate d'Alger devenu amiral de la flotte ottomane. Pour se mouvoir avec habileté dans un complexe jeu d'alliances, où le double-jeu était la règle et faire face à des retournements incessants de situation, il fallait être expert en politique parallèle.
Reconstituer et restituer les initiatives, les manoeuvres, les intrigues et les ruses auxquelles se livra Guillaume du Bellay, bientôt soutenu par son frère, le cardinal Jean du Bellay, tous deux livrés aux soins attentifs de leur médecin, François Rabelais, tout ce qu'il lui fallut accomplir au nom de la Raison d'Etat, dans le contexte hautement conflictuel de la Renaissance finissante où l'Europe s'affirmait comme civilisation, telle est la raison d'être de cet ouvrage.