J'avoue mon embarras, devant ce dernier livre de Justine Niogret : j'ai aimé, mais je ne suis pas sûre d'avoir tout compris... J'ai retrouvé son style percutant et ses personnages fort en couleur et en gueule. J'ai apprécié cet univers post apocalyptique, mort, sans espoir et empli de violence, cette Terre d'après. La haine, la misanthropie, l'anti-humanisme dans une Inquisition moderne et sans objet, et néanmoins la recherche de soi et de sens, intrinsèque à tout humanité : ça, ça m'a parlé et ça m'a même pris aux tripes.
Mais alors, sur la fin, j'ai perdu le fil et m'interroge encore sur la dimension ésotérique (ou cabalistique?) qui m'a sans doute manqué pour atteindre toutes les clefs de ce roman.
J'avoue mon embarras, devant ce dernier livre de Justine Niogret : j'ai aimé, mais je ne suis pas sûre d'avoir tout compris... J'ai retrouvé son style percutant et ses personnages fort en couleur et en gueule. J'ai apprécié cet univers post apocalyptique, mort, sans espoir et empli de violence, cette Terre d'après. La haine, la misanthropie, l'anti-humanisme dans une Inquisition moderne et sans objet, et néanmoins la recherche de soi et de sens, intrinsèque à tout humanité : ça, ça m'a parlé et ça m'a même pris aux tripes.
Mais alors, sur la fin, j'ai perdu le fil et m'interroge encore sur la dimension ésotérique (ou cabalistique?) qui m'a sans doute manqué pour atteindre toutes les clefs de ce roman.