Groix, une île du Ponant sous l'Ancien Régime

Par : Joseph Gallo
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  • Nombre de pages160
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.3 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-494693-18-0
  • EAN9782494693180
  • Date de parution11/04/2025
  • ÉditeurMontagnes Noires (Editions)

Résumé

Héritière de peuples maritimes renommés qui ont laissé des traces tangibles sur l'île de Groix , éperons barrés des fortifications vénètes (Kervédan, Port-Mélite), sépulture scandinave à barque incinérée (Locmaria), la communauté insulaire, malgré la présence de notaires sur l'île, a laissé peu de témoignage écrits de son activité passée. Cette société maritime originale, postée face à l'océan, en marge des terres bretonnes, est probablement issue d'un mélange de populations nautiques anciennes, assimilées ensuite par le monde celtique.
Au cours des siècles, les descendants des migrants "continentaux" , vivants de métiers liés à l'agriculture, se sont progressivement consacrés aux métiers de la mer, au fur et à mesure de l'expansion démographique. Les registres de baptêmes et décès, révèlent cette mutation avec la quasi- disparition des "laboureurs dès le début du XVIIIe siècle".
Héritière de peuples maritimes renommés qui ont laissé des traces tangibles sur l'île de Groix , éperons barrés des fortifications vénètes (Kervédan, Port-Mélite), sépulture scandinave à barque incinérée (Locmaria), la communauté insulaire, malgré la présence de notaires sur l'île, a laissé peu de témoignage écrits de son activité passée. Cette société maritime originale, postée face à l'océan, en marge des terres bretonnes, est probablement issue d'un mélange de populations nautiques anciennes, assimilées ensuite par le monde celtique.
Au cours des siècles, les descendants des migrants "continentaux" , vivants de métiers liés à l'agriculture, se sont progressivement consacrés aux métiers de la mer, au fur et à mesure de l'expansion démographique. Les registres de baptêmes et décès, révèlent cette mutation avec la quasi- disparition des "laboureurs dès le début du XVIIIe siècle".