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Gouverner l'Empire d'Occident. des Carolingiens au règne de Conrad II (737 - 1039). Symbolique du pouvoir et pratiques sociales
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- Nombre de pages220
- Poids0.001 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-251-45808-3
- EAN9782251458083
- Date de parution22/10/2025
- ÉditeurBelles Lettres
Résumé
Ce livre est né d'une question simple : comment l'Occident latin fut-il gouverné au haut Moyen Age ? Plus précisément, quel fut l'intérêt d'avoir un empereur alors que le roi jouait encore un rôle fondamental ? En 800, le couronnement impérial de Charlemagne est l'apothéose d'un recentrage politique sur l'Europe du Nord-Ouest car depuis plusieurs décennies, la papauté se détourne de Byzance. Partant de cet événement conjoncturel, Philippe Depreux expose l'idéologie du pouvoir impérial comparé au pouvoir royal et, plus généralement, les ambitions et limites de l'exercice d'un pouvoir qui se considère comme sommital.
De l'essor des Pippinides jusqu'à la mort de Conrad II, qui parachève la formation du Saint-Empire, l'auteur analyse l'exercice du pouvoir, la symbolique qui en exprime l'essence et les pratiques sociales qui lui sont inhérentes en abordant des thèmes très divers, qui sont autant de clefs d'interprétation propices à la comparaison avec d'autres espaces politiques et culturels, dont les mondes byzantin et islamique.
L'espace considéré englobe l'Empire carolingien et les royaumes qui en sont issus - l'imperium désignant essentiellement le pouvoir, et seulement accessoirement le territoire où il est exercé. Par la diversité des aspects abordés - du décorum des plaids généraux à la pratique de la chasse ou de la genèse du sceau représentant le souverain "en majesté" à la volonté de conduire l'ensemble du peuple au paradis -, cet essai révèle les multiples facettes de la manière dont on concevait et on exerçait le pouvoir impérial ou royal au haut Moyen Age, en combinant d'une manière originale les sources textuelles, iconographiques et matérielles.
De l'essor des Pippinides jusqu'à la mort de Conrad II, qui parachève la formation du Saint-Empire, l'auteur analyse l'exercice du pouvoir, la symbolique qui en exprime l'essence et les pratiques sociales qui lui sont inhérentes en abordant des thèmes très divers, qui sont autant de clefs d'interprétation propices à la comparaison avec d'autres espaces politiques et culturels, dont les mondes byzantin et islamique.
L'espace considéré englobe l'Empire carolingien et les royaumes qui en sont issus - l'imperium désignant essentiellement le pouvoir, et seulement accessoirement le territoire où il est exercé. Par la diversité des aspects abordés - du décorum des plaids généraux à la pratique de la chasse ou de la genèse du sceau représentant le souverain "en majesté" à la volonté de conduire l'ensemble du peuple au paradis -, cet essai révèle les multiples facettes de la manière dont on concevait et on exerçait le pouvoir impérial ou royal au haut Moyen Age, en combinant d'une manière originale les sources textuelles, iconographiques et matérielles.
Ce livre est né d'une question simple : comment l'Occident latin fut-il gouverné au haut Moyen Age ? Plus précisément, quel fut l'intérêt d'avoir un empereur alors que le roi jouait encore un rôle fondamental ? En 800, le couronnement impérial de Charlemagne est l'apothéose d'un recentrage politique sur l'Europe du Nord-Ouest car depuis plusieurs décennies, la papauté se détourne de Byzance. Partant de cet événement conjoncturel, Philippe Depreux expose l'idéologie du pouvoir impérial comparé au pouvoir royal et, plus généralement, les ambitions et limites de l'exercice d'un pouvoir qui se considère comme sommital.
De l'essor des Pippinides jusqu'à la mort de Conrad II, qui parachève la formation du Saint-Empire, l'auteur analyse l'exercice du pouvoir, la symbolique qui en exprime l'essence et les pratiques sociales qui lui sont inhérentes en abordant des thèmes très divers, qui sont autant de clefs d'interprétation propices à la comparaison avec d'autres espaces politiques et culturels, dont les mondes byzantin et islamique.
L'espace considéré englobe l'Empire carolingien et les royaumes qui en sont issus - l'imperium désignant essentiellement le pouvoir, et seulement accessoirement le territoire où il est exercé. Par la diversité des aspects abordés - du décorum des plaids généraux à la pratique de la chasse ou de la genèse du sceau représentant le souverain "en majesté" à la volonté de conduire l'ensemble du peuple au paradis -, cet essai révèle les multiples facettes de la manière dont on concevait et on exerçait le pouvoir impérial ou royal au haut Moyen Age, en combinant d'une manière originale les sources textuelles, iconographiques et matérielles.
De l'essor des Pippinides jusqu'à la mort de Conrad II, qui parachève la formation du Saint-Empire, l'auteur analyse l'exercice du pouvoir, la symbolique qui en exprime l'essence et les pratiques sociales qui lui sont inhérentes en abordant des thèmes très divers, qui sont autant de clefs d'interprétation propices à la comparaison avec d'autres espaces politiques et culturels, dont les mondes byzantin et islamique.
L'espace considéré englobe l'Empire carolingien et les royaumes qui en sont issus - l'imperium désignant essentiellement le pouvoir, et seulement accessoirement le territoire où il est exercé. Par la diversité des aspects abordés - du décorum des plaids généraux à la pratique de la chasse ou de la genèse du sceau représentant le souverain "en majesté" à la volonté de conduire l'ensemble du peuple au paradis -, cet essai révèle les multiples facettes de la manière dont on concevait et on exerçait le pouvoir impérial ou royal au haut Moyen Age, en combinant d'une manière originale les sources textuelles, iconographiques et matérielles.