Gouvernance du parc national de la Salonga en RD Congo. Protectionnisme écologique et résistances locales
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- Nombre de pages286
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.434 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-336-50397-4
- EAN9782336503974
- Date de parution03/04/2025
- CollectionEtudes africaines
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Cet ouvrage a l'ambition d'offrir un éclairage novateur au débat sur l'avenir des aires protégées en Afrique, et plus largement, sur la construction de modèles de gouvernance qui respectent à la fois la biodiversité et les réalités humaines. Dans une démarche qualitative ayant privilégié la théorisation ancrée, cet ouvrage met en relief les contradictions de la politique de conservation au parc national de la Salonga, au regard des logiques d'intérêts contradictoires et à la concurrence des usages entre acteurs, aux représentations divergentes.
Des tensions naissent de ces visions peu compatibles et des pratiques "kitawalistes" et "yaelimistes" peu recommandables qui interfèrent et annihilent les efforts de la conservation. La rhétorique religieuse chrétienne sur laquelle se fonde la doctrine kitawaliste et à partir de laquelle ils légitiment leur présence dans ce parc, les pousse à développer une forte résistance face à ce qu'ils qualifient de globalisation du protectionnisme écologique.
Ce faisant, la conservation à la Salonga appelle des modalités de résolution des conflits innovantes qui devront tenir compte à la fois des caractères idéologiques et doctrinaires de la religion kitawaliste, mais également des pratiques "yaelimistes" pour saisir la complexité de cette problématique.
Des tensions naissent de ces visions peu compatibles et des pratiques "kitawalistes" et "yaelimistes" peu recommandables qui interfèrent et annihilent les efforts de la conservation. La rhétorique religieuse chrétienne sur laquelle se fonde la doctrine kitawaliste et à partir de laquelle ils légitiment leur présence dans ce parc, les pousse à développer une forte résistance face à ce qu'ils qualifient de globalisation du protectionnisme écologique.
Ce faisant, la conservation à la Salonga appelle des modalités de résolution des conflits innovantes qui devront tenir compte à la fois des caractères idéologiques et doctrinaires de la religion kitawaliste, mais également des pratiques "yaelimistes" pour saisir la complexité de cette problématique.
Cet ouvrage a l'ambition d'offrir un éclairage novateur au débat sur l'avenir des aires protégées en Afrique, et plus largement, sur la construction de modèles de gouvernance qui respectent à la fois la biodiversité et les réalités humaines. Dans une démarche qualitative ayant privilégié la théorisation ancrée, cet ouvrage met en relief les contradictions de la politique de conservation au parc national de la Salonga, au regard des logiques d'intérêts contradictoires et à la concurrence des usages entre acteurs, aux représentations divergentes.
Des tensions naissent de ces visions peu compatibles et des pratiques "kitawalistes" et "yaelimistes" peu recommandables qui interfèrent et annihilent les efforts de la conservation. La rhétorique religieuse chrétienne sur laquelle se fonde la doctrine kitawaliste et à partir de laquelle ils légitiment leur présence dans ce parc, les pousse à développer une forte résistance face à ce qu'ils qualifient de globalisation du protectionnisme écologique.
Ce faisant, la conservation à la Salonga appelle des modalités de résolution des conflits innovantes qui devront tenir compte à la fois des caractères idéologiques et doctrinaires de la religion kitawaliste, mais également des pratiques "yaelimistes" pour saisir la complexité de cette problématique.
Des tensions naissent de ces visions peu compatibles et des pratiques "kitawalistes" et "yaelimistes" peu recommandables qui interfèrent et annihilent les efforts de la conservation. La rhétorique religieuse chrétienne sur laquelle se fonde la doctrine kitawaliste et à partir de laquelle ils légitiment leur présence dans ce parc, les pousse à développer une forte résistance face à ce qu'ils qualifient de globalisation du protectionnisme écologique.
Ce faisant, la conservation à la Salonga appelle des modalités de résolution des conflits innovantes qui devront tenir compte à la fois des caractères idéologiques et doctrinaires de la religion kitawaliste, mais également des pratiques "yaelimistes" pour saisir la complexité de cette problématique.