Got Seif de Cuin !. "Que Dieu sauve la Reine !"

Par : David-Nicolas Ruiz Puga
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  • Nombre de pages151
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.175 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-296-01881-5
  • EAN9782296018815
  • Date de parution28/02/2007
  • CollectionL'Autre Amérique
  • ÉditeurL'Harmattan
  • TraducteurMarie-Christine Seguin

Résumé

Lorsque Don Enrique, le dernier maire directement nommé par Sa Majesté, s'abrutit sur son lit de mort, il se rendit comme que le village où il avait vécu pendant plus de cent ans n'avait pas de nom. On le connaissait comme le village du bout du monde dans la région enchantée de Tipu, acculé dans un coin du Río Viejo. Un jour sombre et gris où les nuages pendaient lourdement au-dessus de la cervelle des gens, un curé aux yeux bleus et à la narine relevée arriva au village, et dit tout de go qu'il venait pour implanter une école afin de leur enseigner la langue dans laquelle Sa Majesté désirait que ses sujets communiquent.
Lorsque Don Enrique, le Père prieur de l'Eglise, demanda au curé de quel monarque il s'agissait, celui ci répondit tout fâché qu'il parlait ni plus ni moins de la Reine Victoria, Souveraine et Empératrice de l'Inde. Tout le monde en demeura bouche-bée. Avec le roman de David Nicolas Ruiz Puga, on entre dans l'histoire d'un pays marginal au sein de l'Amérique Centrale méconnue. Dans cet isthme à part, du vaste continent latino-américain, le Bélice, indépendant en tant que pays nation depuis une vingtaine d'années, se taille aujourd'hui la part du lion grâce a de jeunes écrivains.
David Nicolas Ruiz Ruga (1966) fait partie de cette nouvelle génération d'écrivains, qui s'exprimant en anglais jusqu'alors, retrouvent l'espagnol, en révélant la multiplicité et la richesse de leur pays. Les origines mayas qui invitent au réalisme magique comme l'affirmation d'une langue métisse, le créole, d'où surgit la langue "Ispamal" dans le roman, un mélange d'anglais, d'espagnol de maya du Yucatan et d'allemand offrent tous les paradoxes d'une culture qui se façonne sur une empreinte multiple et oeuvre à sa propre identité.
Lorsque Don Enrique, le dernier maire directement nommé par Sa Majesté, s'abrutit sur son lit de mort, il se rendit comme que le village où il avait vécu pendant plus de cent ans n'avait pas de nom. On le connaissait comme le village du bout du monde dans la région enchantée de Tipu, acculé dans un coin du Río Viejo. Un jour sombre et gris où les nuages pendaient lourdement au-dessus de la cervelle des gens, un curé aux yeux bleus et à la narine relevée arriva au village, et dit tout de go qu'il venait pour implanter une école afin de leur enseigner la langue dans laquelle Sa Majesté désirait que ses sujets communiquent.
Lorsque Don Enrique, le Père prieur de l'Eglise, demanda au curé de quel monarque il s'agissait, celui ci répondit tout fâché qu'il parlait ni plus ni moins de la Reine Victoria, Souveraine et Empératrice de l'Inde. Tout le monde en demeura bouche-bée. Avec le roman de David Nicolas Ruiz Puga, on entre dans l'histoire d'un pays marginal au sein de l'Amérique Centrale méconnue. Dans cet isthme à part, du vaste continent latino-américain, le Bélice, indépendant en tant que pays nation depuis une vingtaine d'années, se taille aujourd'hui la part du lion grâce a de jeunes écrivains.
David Nicolas Ruiz Ruga (1966) fait partie de cette nouvelle génération d'écrivains, qui s'exprimant en anglais jusqu'alors, retrouvent l'espagnol, en révélant la multiplicité et la richesse de leur pays. Les origines mayas qui invitent au réalisme magique comme l'affirmation d'une langue métisse, le créole, d'où surgit la langue "Ispamal" dans le roman, un mélange d'anglais, d'espagnol de maya du Yucatan et d'allemand offrent tous les paradoxes d'une culture qui se façonne sur une empreinte multiple et oeuvre à sa propre identité.