Got Seif de Cuin !. "Que Dieu sauve la Reine !"

Par : David-Nicolas Ruiz Puga
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier
Disponible dans votre compte client Decitre ou Furet du Nord dès validation de votre commande. Le format PDF est :
  • Compatible avec une lecture sur My Vivlio (smartphone, tablette, ordinateur)
  • Compatible avec une lecture sur liseuses Vivlio
  • Pour les liseuses autres que Vivlio, vous devez utiliser le logiciel Adobe Digital Edition. Non compatible avec la lecture sur les liseuses Kindle, Remarkable et Sony
Logo Vivlio, qui est-ce ?

Notre partenaire de plateforme de lecture numérique où vous retrouverez l'ensemble de vos ebooks gratuitement

Pour en savoir plus sur nos ebooks, consultez notre aide en ligne ici
C'est si simple ! Lisez votre ebook avec l'app Vivlio sur votre tablette, mobile ou ordinateur :
Google PlayApp Store
  • Nombre de pages152
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-16067-0
  • EAN9782296160675
  • Date de parution02/12/2006
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille4 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan
  • TraducteurMarie-Claire Seguin

Résumé

Lorsque Don Enrique, le dernier maire directement nommé par Sa Majesté, s'abattit sur son lit de mort, il se rendit compte que le village où il avait vécu pendant plus de cent ans n'avait pas de nom. On le connaissait comme le village du bout du monde dans la région enchantée de Tipu, acculé dans un coin du Rio Viejo. Un jour sombre et gris où les nuages pendaient lourdement au-dessus de la cervelle des gens, un curé aux yeux bleus et à la narine relevée arriva au village, et dit tout de go qu'il venait pour implanter une école afin de leur enseigner la langue dans laquelle Sa Majesté désirait que ses sujets communiquent.
Lorsque Don Enrique, le Père prieur de l'Eglise, demanda au curé de quel monarque il s'agissait, celui-ci répondit tout fâché qu'il parlait ni plus ni moins de la Reine Victoria, Souveraine et Empératrice de l'Inde. Tout le monde en demeura bouche bée. Avec le roman de David Nicolas Ruiz Puga, on entre dans l'Histoire d'un pays marginal au sein de l'Amérique Centrale méconnue. Dans cet isthme à part, du vaste continent latino-américain, le Bélice, indépendant en tant que pays-nation depuis une vingtaine d'années, se taille aujourd'hui la part du lion grâce à de jeunes écrivains.
David Nicolas Ruiz Puga (1966) fait partie de cette nouvelle génération d'écrivains qui, s'exprimant en anglais jusqu'alors, retrouvent l'espagnol, en révélant la multiplicité et la richesse de leur pays. Les origines mayas qui invitent au réalisme magique comme l'affirmation d'une langue métisse, le créole, d'où surgit la langue " Ispamal " dans le roman, un mélange d'anglais, d'espagnol de maya du Yucatan et d'allemand offrent tous les paradoxes d'une culture qui se façonne sur une empreinte multiple et œuvre à sa propre identité.
Lorsque Don Enrique, le dernier maire directement nommé par Sa Majesté, s'abattit sur son lit de mort, il se rendit compte que le village où il avait vécu pendant plus de cent ans n'avait pas de nom. On le connaissait comme le village du bout du monde dans la région enchantée de Tipu, acculé dans un coin du Rio Viejo. Un jour sombre et gris où les nuages pendaient lourdement au-dessus de la cervelle des gens, un curé aux yeux bleus et à la narine relevée arriva au village, et dit tout de go qu'il venait pour implanter une école afin de leur enseigner la langue dans laquelle Sa Majesté désirait que ses sujets communiquent.
Lorsque Don Enrique, le Père prieur de l'Eglise, demanda au curé de quel monarque il s'agissait, celui-ci répondit tout fâché qu'il parlait ni plus ni moins de la Reine Victoria, Souveraine et Empératrice de l'Inde. Tout le monde en demeura bouche bée. Avec le roman de David Nicolas Ruiz Puga, on entre dans l'Histoire d'un pays marginal au sein de l'Amérique Centrale méconnue. Dans cet isthme à part, du vaste continent latino-américain, le Bélice, indépendant en tant que pays-nation depuis une vingtaine d'années, se taille aujourd'hui la part du lion grâce à de jeunes écrivains.
David Nicolas Ruiz Puga (1966) fait partie de cette nouvelle génération d'écrivains qui, s'exprimant en anglais jusqu'alors, retrouvent l'espagnol, en révélant la multiplicité et la richesse de leur pays. Les origines mayas qui invitent au réalisme magique comme l'affirmation d'une langue métisse, le créole, d'où surgit la langue " Ispamal " dans le roman, un mélange d'anglais, d'espagnol de maya du Yucatan et d'allemand offrent tous les paradoxes d'une culture qui se façonne sur une empreinte multiple et œuvre à sa propre identité.