Gorze Au Xie Siecle : Contribution A L'Histoire Du Monachisme Benedictin
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- ISBN2-503-50507-4
- EAN9782503505077
- Date de parution01/01/1996
- ÉditeurBrepols
Résumé
C'est au XIe siècle que l'abbaye de Gorze a connu son apogée : richesse matérielle, spiritualité, culture et vie intellectuelle en font alors un des plus importants centres monastiques d'Occident. L'ouvrage d'Anne Wagner réévalue la place de Gorze dans le monachisme et l'Eglise du XIe siècle entre souverains, évêques et laïcs. Il y eut Gorze après Gorze, comme on parle de Cluny après Cluny. La Gorze, que les historiens citent volontiers est celle du Xe siècle, celle de Jean de Vandières, l'un des plus fervents animateurs de la réforme de 934, celui dont la Vie nous permet de toucher du doigt et de comprendre l'activité monastique de cette abbaye lorrain.
Mais il y eut encore le siècle qui suit, mal connu et pourtant décisif lui aussi. C'est à celui-ci qu'Anne Wagner s'est attaquée, pour tenter d'analyser ce que fut l'impact de cette réforme lotharingienne dans l'Empire des Ottoniens et des Saliens. Le grand mérand mérite d'Anne Wagner a été d'accepter d'etudier le Gorze discret du XIe siècle au lieu du brillant Xe, de lire entre les lignes du catalogue de la bibliothèque, de parcourir avec minutie les sources impériales qui peu ou prou parlaient de Gorze.
Elle a fait oeuvre utile, car elle établi sur des bases solides l'histoire d'une des plus belles abbayes de Lorraine et d'Empire, pour le plus grand profit de notre connaissance du monde bénédictin.
Mais il y eut encore le siècle qui suit, mal connu et pourtant décisif lui aussi. C'est à celui-ci qu'Anne Wagner s'est attaquée, pour tenter d'analyser ce que fut l'impact de cette réforme lotharingienne dans l'Empire des Ottoniens et des Saliens. Le grand mérand mérite d'Anne Wagner a été d'accepter d'etudier le Gorze discret du XIe siècle au lieu du brillant Xe, de lire entre les lignes du catalogue de la bibliothèque, de parcourir avec minutie les sources impériales qui peu ou prou parlaient de Gorze.
Elle a fait oeuvre utile, car elle établi sur des bases solides l'histoire d'une des plus belles abbayes de Lorraine et d'Empire, pour le plus grand profit de notre connaissance du monde bénédictin.
C'est au XIe siècle que l'abbaye de Gorze a connu son apogée : richesse matérielle, spiritualité, culture et vie intellectuelle en font alors un des plus importants centres monastiques d'Occident. L'ouvrage d'Anne Wagner réévalue la place de Gorze dans le monachisme et l'Eglise du XIe siècle entre souverains, évêques et laïcs. Il y eut Gorze après Gorze, comme on parle de Cluny après Cluny. La Gorze, que les historiens citent volontiers est celle du Xe siècle, celle de Jean de Vandières, l'un des plus fervents animateurs de la réforme de 934, celui dont la Vie nous permet de toucher du doigt et de comprendre l'activité monastique de cette abbaye lorrain.
Mais il y eut encore le siècle qui suit, mal connu et pourtant décisif lui aussi. C'est à celui-ci qu'Anne Wagner s'est attaquée, pour tenter d'analyser ce que fut l'impact de cette réforme lotharingienne dans l'Empire des Ottoniens et des Saliens. Le grand mérand mérite d'Anne Wagner a été d'accepter d'etudier le Gorze discret du XIe siècle au lieu du brillant Xe, de lire entre les lignes du catalogue de la bibliothèque, de parcourir avec minutie les sources impériales qui peu ou prou parlaient de Gorze.
Elle a fait oeuvre utile, car elle établi sur des bases solides l'histoire d'une des plus belles abbayes de Lorraine et d'Empire, pour le plus grand profit de notre connaissance du monde bénédictin.
Mais il y eut encore le siècle qui suit, mal connu et pourtant décisif lui aussi. C'est à celui-ci qu'Anne Wagner s'est attaquée, pour tenter d'analyser ce que fut l'impact de cette réforme lotharingienne dans l'Empire des Ottoniens et des Saliens. Le grand mérand mérite d'Anne Wagner a été d'accepter d'etudier le Gorze discret du XIe siècle au lieu du brillant Xe, de lire entre les lignes du catalogue de la bibliothèque, de parcourir avec minutie les sources impériales qui peu ou prou parlaient de Gorze.
Elle a fait oeuvre utile, car elle établi sur des bases solides l'histoire d'une des plus belles abbayes de Lorraine et d'Empire, pour le plus grand profit de notre connaissance du monde bénédictin.