Giordano Bruno. Pièce de théâtre musical en deux actes
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages198
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.246 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-343-20498-7
- EAN9782343204987
- Date de parution16/06/2020
- CollectionRegards turcs
- ÉditeurL'Harmattan
- TraducteurSevgi Türker-Terlemez
- TraducteurSerpilekin Adeline Terlemez
Résumé
Pourquoi Giordano Bruno ? J'ai rencontré Bruno, bien des années auparavant, quand je lisais "Histoire de la liberté de pensée" de J. Bury. Mais c'est bien plus tard avec "Comment l'homme devient humain" que mon attention se focalisa sur son personnage. Et c'est lorsque je me suis mis à approfondir ma recherche sur lui que Bruno suscita dans mon esprit : "Ecris-moi ! Vois-tu, cela fait environ quatre siècles depuis ma mort ; les gens souffrent encore à cause de leurs pensées dans plusieurs pays du monde" m'a-t-il interpellé.
[...] J'ai pensé infailliblement à ceux qui ont souffert et souffrent dans notre pays pour la démocratie, pour la liberté [...] L'idée "qu'il soit de chez nous" m'a persuadé, à un certain moment, et j'ai voulu écrire sur Mansur al-Hallaj, qui eut, à peu près, les mêmes pensées et la même fin que Bruno. Mais que, je me suis confronté à une triste réalité : mener une recherche satisfaisante sur Mansur al-Hallaj - nous devrions bien connaître ce personnage qui eut une place considérable dans notre histoire de la religion et de la philosophie - était beaucoup plus difficile que de mener une recherche sur un personnage européen.
En outre, il me convenait mieux de faire comme disait le proverbe : " Le voisin est le premier secours de l'homme ". Parce qu'il arrive parfois et avec une manière assez bizarre, aux gens de tirer des leçons de ce qui est déjà arrivé aux autres. Maître Brecht fait dire à Galileo Galilei : " Malheureux, les pays qui ont besoin de héros ! " Je suis d'accord avec cette citation. Mais ne devrait-on pas s'attendre, juste après, à une question telle que : " Pourquoi donc ce monde crée-t-il des héros ? "
[...] J'ai pensé infailliblement à ceux qui ont souffert et souffrent dans notre pays pour la démocratie, pour la liberté [...] L'idée "qu'il soit de chez nous" m'a persuadé, à un certain moment, et j'ai voulu écrire sur Mansur al-Hallaj, qui eut, à peu près, les mêmes pensées et la même fin que Bruno. Mais que, je me suis confronté à une triste réalité : mener une recherche satisfaisante sur Mansur al-Hallaj - nous devrions bien connaître ce personnage qui eut une place considérable dans notre histoire de la religion et de la philosophie - était beaucoup plus difficile que de mener une recherche sur un personnage européen.
En outre, il me convenait mieux de faire comme disait le proverbe : " Le voisin est le premier secours de l'homme ". Parce qu'il arrive parfois et avec une manière assez bizarre, aux gens de tirer des leçons de ce qui est déjà arrivé aux autres. Maître Brecht fait dire à Galileo Galilei : " Malheureux, les pays qui ont besoin de héros ! " Je suis d'accord avec cette citation. Mais ne devrait-on pas s'attendre, juste après, à une question telle que : " Pourquoi donc ce monde crée-t-il des héros ? "
Pourquoi Giordano Bruno ? J'ai rencontré Bruno, bien des années auparavant, quand je lisais "Histoire de la liberté de pensée" de J. Bury. Mais c'est bien plus tard avec "Comment l'homme devient humain" que mon attention se focalisa sur son personnage. Et c'est lorsque je me suis mis à approfondir ma recherche sur lui que Bruno suscita dans mon esprit : "Ecris-moi ! Vois-tu, cela fait environ quatre siècles depuis ma mort ; les gens souffrent encore à cause de leurs pensées dans plusieurs pays du monde" m'a-t-il interpellé.
[...] J'ai pensé infailliblement à ceux qui ont souffert et souffrent dans notre pays pour la démocratie, pour la liberté [...] L'idée "qu'il soit de chez nous" m'a persuadé, à un certain moment, et j'ai voulu écrire sur Mansur al-Hallaj, qui eut, à peu près, les mêmes pensées et la même fin que Bruno. Mais que, je me suis confronté à une triste réalité : mener une recherche satisfaisante sur Mansur al-Hallaj - nous devrions bien connaître ce personnage qui eut une place considérable dans notre histoire de la religion et de la philosophie - était beaucoup plus difficile que de mener une recherche sur un personnage européen.
En outre, il me convenait mieux de faire comme disait le proverbe : " Le voisin est le premier secours de l'homme ". Parce qu'il arrive parfois et avec une manière assez bizarre, aux gens de tirer des leçons de ce qui est déjà arrivé aux autres. Maître Brecht fait dire à Galileo Galilei : " Malheureux, les pays qui ont besoin de héros ! " Je suis d'accord avec cette citation. Mais ne devrait-on pas s'attendre, juste après, à une question telle que : " Pourquoi donc ce monde crée-t-il des héros ? "
[...] J'ai pensé infailliblement à ceux qui ont souffert et souffrent dans notre pays pour la démocratie, pour la liberté [...] L'idée "qu'il soit de chez nous" m'a persuadé, à un certain moment, et j'ai voulu écrire sur Mansur al-Hallaj, qui eut, à peu près, les mêmes pensées et la même fin que Bruno. Mais que, je me suis confronté à une triste réalité : mener une recherche satisfaisante sur Mansur al-Hallaj - nous devrions bien connaître ce personnage qui eut une place considérable dans notre histoire de la religion et de la philosophie - était beaucoup plus difficile que de mener une recherche sur un personnage européen.
En outre, il me convenait mieux de faire comme disait le proverbe : " Le voisin est le premier secours de l'homme ". Parce qu'il arrive parfois et avec une manière assez bizarre, aux gens de tirer des leçons de ce qui est déjà arrivé aux autres. Maître Brecht fait dire à Galileo Galilei : " Malheureux, les pays qui ont besoin de héros ! " Je suis d'accord avec cette citation. Mais ne devrait-on pas s'attendre, juste après, à une question telle que : " Pourquoi donc ce monde crée-t-il des héros ? "