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Gil Roman. Béjart ballet Lausanne
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- Nombre de pages120
- PrésentationRelié
- Poids0.868 kg
- Dimensions24,9 cm × 27,8 cm × 1,9 cm
- ISBN978-2-8289-1342-7
- EAN9782828913427
- Date de parution30/05/2013
- ÉditeurFavre
Résumé
Un lustre après la disparition de son chorégraphe, un quart-de-siècle après sa fondation, le Béjart Ballet Lausanne est plus vivant que jamais. Tournées internationales, reprises, créations… le mouvement est incessant. Si le répertoire béjartien est au coeur de son activité, le BBL ne se diversifie pas moins en affichant les ballets de son directeur artistique, Gil Roman, et ceux de chorégraphes invités.
Rien pourtant n'était gagné d'avance. D'aucuns, il y a cinq ans, ne se privaient pas de s'interroger sur les chances de survie d'une telle compagnie, si intimement liée à son fondateur. Danseur exceptionnel, chorégraphe de talent, disciple fidèle de Maurice Béjart auprès de qui il a travaillé durant près de trois décennies, Gil Roman a su tenir fermement la barre. C'est à lui que le Béjart Ballet Lausanne doit de compter toujours au nombre des principales compagnies internationales.
Durant des années, François Paolini a regardé travailler Maurice Béjart et Gil Roman. Réunies dans cet ouvrage, 100 de ses photographies documentent le passage de témoin. Elles sont précédées d'une évocation de cette période clé par Jean Pierre Pastori et d'un portrait de Gil Roman signé Patrick Ferla.
Rien pourtant n'était gagné d'avance. D'aucuns, il y a cinq ans, ne se privaient pas de s'interroger sur les chances de survie d'une telle compagnie, si intimement liée à son fondateur. Danseur exceptionnel, chorégraphe de talent, disciple fidèle de Maurice Béjart auprès de qui il a travaillé durant près de trois décennies, Gil Roman a su tenir fermement la barre. C'est à lui que le Béjart Ballet Lausanne doit de compter toujours au nombre des principales compagnies internationales.
Durant des années, François Paolini a regardé travailler Maurice Béjart et Gil Roman. Réunies dans cet ouvrage, 100 de ses photographies documentent le passage de témoin. Elles sont précédées d'une évocation de cette période clé par Jean Pierre Pastori et d'un portrait de Gil Roman signé Patrick Ferla.
Un lustre après la disparition de son chorégraphe, un quart-de-siècle après sa fondation, le Béjart Ballet Lausanne est plus vivant que jamais. Tournées internationales, reprises, créations… le mouvement est incessant. Si le répertoire béjartien est au coeur de son activité, le BBL ne se diversifie pas moins en affichant les ballets de son directeur artistique, Gil Roman, et ceux de chorégraphes invités.
Rien pourtant n'était gagné d'avance. D'aucuns, il y a cinq ans, ne se privaient pas de s'interroger sur les chances de survie d'une telle compagnie, si intimement liée à son fondateur. Danseur exceptionnel, chorégraphe de talent, disciple fidèle de Maurice Béjart auprès de qui il a travaillé durant près de trois décennies, Gil Roman a su tenir fermement la barre. C'est à lui que le Béjart Ballet Lausanne doit de compter toujours au nombre des principales compagnies internationales.
Durant des années, François Paolini a regardé travailler Maurice Béjart et Gil Roman. Réunies dans cet ouvrage, 100 de ses photographies documentent le passage de témoin. Elles sont précédées d'une évocation de cette période clé par Jean Pierre Pastori et d'un portrait de Gil Roman signé Patrick Ferla.
Rien pourtant n'était gagné d'avance. D'aucuns, il y a cinq ans, ne se privaient pas de s'interroger sur les chances de survie d'une telle compagnie, si intimement liée à son fondateur. Danseur exceptionnel, chorégraphe de talent, disciple fidèle de Maurice Béjart auprès de qui il a travaillé durant près de trois décennies, Gil Roman a su tenir fermement la barre. C'est à lui que le Béjart Ballet Lausanne doit de compter toujours au nombre des principales compagnies internationales.
Durant des années, François Paolini a regardé travailler Maurice Béjart et Gil Roman. Réunies dans cet ouvrage, 100 de ses photographies documentent le passage de témoin. Elles sont précédées d'une évocation de cette période clé par Jean Pierre Pastori et d'un portrait de Gil Roman signé Patrick Ferla.
A propos de François Paolini